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L’actualité de la crise : à la recherche des capitaux perdus, par François Leclerc – Blog de Paul Jorion

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14 réponses à “L’actualité de la crise : à la recherche des capitaux perdus, par François Leclerc”

  1. Avatar de Hyoo
    Hyoo

    Comment rendre raison à des personnes de pouvoir qui n on comme unique neurone, un rendement financière à deux chiffres?

    On ne raisonne pas une personne ivre.

    Là est le d espoir.

  2. Avatar de Hyoo
    Hyoo

    Le désespoir.

    Pardon famille tout…

  3. Avatar de auspitz
    auspitz

    puisque Indiana a retrouvé l’Arche, il retrouvera bien les Capitaux;

    1. Avatar de François Leclerc
      François Leclerc

      Restera à trouver…le temps perdu.

    2. Avatar de yvan
      yvan

      Mais, Monsieur Leclerc, je reste persuadé que la méfiance des « investisseurs » face à l’achat des actions de Citigroup est assez révélateur.

      Et pourtant, lorsqu’on regarde bien, être propriétaire d’une banque est le rêve de tout bon idiot d’ « investisseur »
      Surtout de façon bradée, car l’action était vendue 3,15 pour un cours de 3,5…

      Il y a donc pour moi un virage qui vient d’être pris :
      Même les requins finissent par être méfiants.

      Certes, Citigroup ne peut tomber. Mais imaginez-vous le nombre de banques qui vont se casser la figure…???
      Les plus gros vont se frotter les mains.

  4. Avatar de Constantin

    Finalement, toute cette agitation pour, comme d’habitude, accoucher d’une souris (gâtée), n’est pas sans rappeler Copenhague…Heureusement que Van Rompeuy est là !!!

    1. Avatar de Flo
      Flo

      Van Rompuy qui a été adoubé par le Bilderberg avant de devenir le président du conseil européen, soit dit juste en passant.
      Source la RTBF
      http://www.rtbf.be/info/economie/m-van-rompuy-se-devoile-devant-le-groupe-de-bilderberg-lecho-de-tijd-160590

  5. Avatar de Boukovski
    Boukovski

    « Le sort des CoCos, ces nouveaux instruments de dette encore peu éprouvés et dans lequel de grands espoirs sont fondés, afin de les remplacer, reste encore incertain. Leur formule new look prévoit un dispositif de transformation automatique en actions de l’émetteur…. »

    S’il s’agit de la même chose c’est une formule courante dans les montages LBO. L’entreprise émet des obligations convertibles en actions (OC): elle emprunte auprès de financiers et émet en échange des reconnaissances de dette. Celles-ci sont assorties de la possibilité pour le financier, le prêteur, de convertir sa dette en actions à des échéances convenues d’avance. De simple créancier le financier devient actionnaire, il substitue des actions à de la dette (le dette devient donc des fonds propres). Ce faisant, en tant qu’actionnaire, il sera associé aux prises de décision. Il prend plus de risque car contrairement au remboursement d’une dette, qui se fait à échéances régulières, sa sortie en capital (vente des actions) ne pourra se faire que s’il trouve un acquéreur pour ses actions. Il le fera soit parce qu’il souhaite rester investi durablement dans l’entreprise (espoir de plus-values sur la cession des actions, peu probable aujourd’hui), soit parce qu’il n’a plus le choix: le remboursement de sa dette est compromis.

    En résumé, cela signifie « nous banquier, cédons aux prêteurs une partie du contrôle de la banque, si nous sommes dans l’incapacité de vous rembourser ». Cela ne peut fonctionner que si le prêteur a l’assurance que l’Etat du pays concerné renflouera, par un biais ou par un autre, la banque en cas de difficulté majeure.

    « Le système financier reste en crise profonde ». En effet, il suffirait que les bourses plongent encore de manière importante (par ex. en cas de retraits massifs des liquidités injectées dans le système, ou que les taux BC remontent comme en 2007) pour que la valeur des actifs détenus par les banques se remette à chuter à toute vitesse. Le système financier est toujours sur le fil du rasoir.

  6. Avatar de johannes finckh

    Oh non, il n’y aura aucune chance de remonter la pente qui est actuellement parfaitement glissante et descendante.
    La titrisation rappelle la titrisation de la dette allemande après la première guerre mondiale qui avait été, en fin de compte, payée par les épargnants américains essentiellement (et pr la « purge » que représente la Seconde guerre mondiale, mais c’est une autre histoire peut-être)
    Sans doute, face aux créances pourries et dévalorisées, les banques essayeront un coup comparable, mais, vu l’ampleur, cela n’a aucune chance de marcher.
    La « sagesse » du comité de Bâle est simplement de laisser faire et de simplement « tancer » un peu.
    Face à tant d’insolvabilité et face à une consommation atone, la production de richesses réelles ne peut que diminuer, y compris dans les pays émergents, car tute la souplesse des BC ne fera pas revenir l’argent dans l’économie, étant donné qu’i n’y a pas d’emprunteurs solvables en quantité et en volume suffisants.
    Autrement dit, à part des bulles spéculatives successives, il n’y aura pas de redémarrage avant longtemps!
    Les prévisions très optimistes (de l’ordre de +0,1% de croissanc) sont pure propagande san aucun fondement macro ou micro économique.
    La progression de près de 20% de la production industrielle chinoise (soi-disant) es en fait extrêment préoccupante, car cela s’appelle surchauffe avant une chute très brutale prochainement!
    On peut simplement prévoir que l’émission de CO2 diminuera peut-être bel et bien dans ce contexte de récession et de déflation qui s’annonce long t tenace.
    Autrement dit, l’échec de Copenhague sera « corrigé » par les échecs répétés des politiques monétaires.
    A moins qu’on penserait, enfin, à une nouvelle monnaie de type anticrise qui se remettrait à circuler réellement et efficacement….CQFD
    Ce qui sort des « cuisines des banques centrales », c’est qu’elles ne savent plus quoi faire pour maintenir le système à flot.
    Quant aux banques, elle avouent leur propre impuissance face à un comportement du capital investissant qui les dépasse totalement.
    Un capital devenu, c’est compréhensible, très frileux avec une violente préférence pour la détention liquide. Les coups spéculatifs sont toujours et encore un moyen puissant pour soutirer encore davantage de liquidités des circuits économiques et monétaires.
    Comme disait Gesell: « et l’argent se retire parce qu’il se retire… »
    Il y en a qui se remplissent méchamment les poches, c’est vrai, et c’est obscène, mais, en le faisant, cela donne aux investisseurs l’illusion que leurs banques seraient solvables alors qu’elles ne peuvent l’être étant donné la multiplication des défauts e paiement au niveau des emprunteurs.

  7. Avatar de yvan
    yvan

    « Quant aux banques, elle avouent leur propre impuissance face à un comportement du capital investissant qui les dépasse totalement. »

    Johannes. Pourriez-vous, s’il vous plaît, expliciter.
    Car j’ai du mal à m’expliquer les rapports de force, là.

  8. Avatar de johannes finckh

    Volontiers, yvan:
    il faut garder à l’esprit ce fait massif, flagrant:
    Selon les rapports mêmes des banques centrales, et cela ressort aussi de tous les bilans bancaires au cas par cas, les banques versent tous les ans, pour un pays comme la France, environ 600 milliards d’euros d’intérêts, je dis bien: 600 milliards! aux épargnants/déposants/investisseurs, autrement dit, aux plus fortunés.
    Elles encaissent un peu plus (marge bancaire et fonctionnement bancaire oblige) sous forme d’intérêts débiteurs, commissions, frais de compte, etc.
    Ces chiffres grossissent tous les ans selon une courbe de croissance exponentielle!
    Il s’agit, en fait de transferts de richesses opérées par les plus pauvres (les débiteurs) en faveur des lus riches, via les banques. qui sont les intermédiaires, c’est leur métier!
    Vous trouverez cette mécanique très bien décrite dans l’ouvrage d’Helmut Creutz, « le syndrome de la monnaie », publié chez ECONOMICA en décembre 2008 (traduit de l’allemand).
    Autrement dit, tous les ans, les banques doivent placer des sommes telles qu’elles génèrent les intérêts ici mentionnés, car, sinon, elles ne sont pas en mesure de rémunérer les épargnannts, et l’insolvabilité les guette.
    Vous verrez que l aussi, les réserves fractionnaires n’interviennent guère.
    Et c’est pourquoi les banques cherchent aussi des rendements élevés, par définition (très) risqués, car les emprunteurs dits normaux (entreprises et ménages) sont devenus insolvables du fait même du poids insupportable de la dette.
    Concrètement, c’est bien cela l’exploitation capitaliste à côté de quoi le déficit de la sécurité sociale apparaît ridicule (30 milliards sur deux ans environ).
    Afin de bien faire ressortir de telles vérités, il est effctivement indispensable de lire les documents bancaires et ceux de la banque centrale de la bonne façon!
    Il n’y a pas là, tout simplement, aucune place pour la supposée création monétaire via le rédit, il y a, d’une façon plus lapidaire, un transfert de richesses massif et répétitif!
    Cela représente près de 40% du PIB (le pourcentage augmente tous les ans!), et il n’est donc pas étonnant pourquoi nous assistons, sans croissance, à un appauvrissement d l’immense majorité au bénéfice des plus riches.
    Toutes les charges sociales et impôts pâlissent (en volume) devant les chiffres d’une telle charge financière.
    Le scandale est justement que cette vérité élémentaire ne semble absolument pas soucier la plupart des commentateurs politiques et économiques, alors que c’est tout simplemnt le problème central!
    Autrement dit, nous payons, via toutes nos dépenses, près de 40% directement aux bénéficiaires capitalistes.
    40% du revenu généré par le travail vont vers le capital, il reste au travailleur donc: 60%.
    Telle est la vraie signification de la « plus-value » de Marx!

    1. Avatar de yvan
      yvan

      Merci, Johannes, de cette explication claire.

      Les banques, dans leur rôle d’intermédiaires, sentent donc bien que les pompes à fric sont en train de s’assécher.

      Mais, lorsque nous constatons tous les jours qu’elles tiennent les gouvernements en otage et se font subventionner largement par eux, où est le problème…??
      Où est leur impuissance..??

  9. Avatar de johannes finckh

    eh bien, elles sont néanmoins impuissantes en tant qu’institution pour résoudre le problème posé!
    Le fait que des individus se remplissent les poches au passages est un fait, la notion de banques TBTF (too big to fail) signale effectivement que ces banques sont l’instrument de la continuation de la spoliation qu’exerce le capitalisme tel qu’il est.
    Mais, comme je le ressasse souvent, une pichenette, comme l’émission de monnaie fondante, suffirait pour en finir avec ce spectacle affligeant – en une nuit!

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