J’avais appelé le premier billet de veille permanente « L’Amour au temps du coronavirus », en hommage à Gabriel García Márquez et son L’Amour au temps du choléra.
On vous aura déjà montré cette vidéo ailleurs, mais elle a bien entendu sa place ici.
P.S. Oui, il y a de la pub, mais rassurez-vous, dans le monde de l’Après-Covid-19 c’est le genre de choses sans intérêt qui auront disparu.
Le bobo des terrasses californiennes, me disait tout à l’heure de manière un peu radicale un poto du soviet, ne…