Reprendre à zéro (bis) a paru dans L’Âne Le magazine…
Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici
*Godot est mort !*
Reprendre à zéro (bis) a paru dans L’Âne Le magazine…
Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici
@rafio qui dit : pour vous créer de la valeur ajoutée c’est vendre C’est simple : sans vente d’un bien…
@eponine qui dit : « Ben si, les salaires du public sont dans le budget de l’État, dans la colonne dépenses…
Et par là vous montrez que, pour vous, créer de la valeur ajoutée, c’est « vendre ». Non. Créer de la valeur…
Notamment sur les dépenses de l’Etat (270 mds/an aux dernières nouvelles), ce « médecin » supposé de notre bonne santé économique…
@rafio qui dit « Deux enseignants, l’un du public, l’autre du privé, ..etc.. créent la même valeur ajoutée. Cela ne dépend…
Comme tu colles partout sans tenir compte du sujet, alors que Paul Jorion, publie énormément de billet de blog, je…
Et pourtant il s’ y passe des ‘choses’ qu’ ‘on’ évite de mettre en évidence… et surtout de stigmatiser noir…
Rhaaaa la vache si un jour on m’avait dit que Rafio paraphraserait Chicago boy, je ne l’aurai pas cru !…
Mon Dieu quel désastre. Prenez deux infirmières qui vous font une piqûre (Aïe). L’une est infirmière libérale, l’autre du service…
erratum : 35 emplois de 1h par semaine
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
11 réponses à “Reprendre à zéro (bis) (1986)”
– Il ne doit plus rester beaucoup de barbares sauvages paysans à étudier .
– bien que vous l’ayez déjà évoquée et promue , j’ai encore de la peine avec l’observation participante, alors que je n’arrive pas à imaginer qu’un observateur ne perturbe pas l’événement qu’il observe, ne fût ce qu’un chouïa .
– si l’humanisme avait un totem , je me demande quelle gueule il aurait .
Je vois deux raisons à la déchéance de l’anthropologie au XXe. La peur et ou le manque de courage, devant l’enchainement des succès des sciences dur, de ne rien trouver dans le noyau et, la « sciences économique » avec son « réductionnisme méthodologique » et son avatar « l’homo economicus » tout de suite adopté et protégé par la classe bourgeoise avec comme destin de prendre la place du « surhomme nietzschéen ».
J’ai aussi la conviction que derrière votre RAZ se cache une révolution copernicienne.
Qu’est ce qu’on en dit à l’EHESS ?
Pourquoi en particulier à l’EHESS ?
Pas en particulier , mais entre autre puisqu’il me semble qu’elle ambitionne de « comprendre toutes les sociétés dans toutes leurs complexités. »
J’imagine d’ailleurs que Paul Jorion y connait du monde .
Pas sûr que la réalité du quotidien soit à la hauteur des ambitions.
Dans la foulée de votre immédiat tweet :
https://journals.openedition.org/jda/
« négation paternaliste de l’altérité de l’autre »
Si l’on ajoute une négation maternelle, ça rend l’autre ?
Dirait Annie Lebrun ( ne me demandez pas pq)
« Le temps est venu sans doute, de reprendre les choses en réfléchissant à ce que l’on fait » d’où l’intérêt de pouvoir sortir la tête du guéridon :p
» […] les questions étaient essentielles : l’origine de la religion par exemple. À la veille de la Grande Guerre, le monde intellectuel tout entier se passionne pour la question du totémisme. Ce n’est qu’une question oiseuse, car quel est l’enjeu ? La nature du sacré, l’origine du tabou, le mécanisme du sacrifice. Or le massacre de la Grande Guerre : le sacrifice de millions de soldats au nom de l’Amour Sacré de la Patrie, devait cruellement souligner que la question méritait d’être traitée et demeurait loin d’être élucidée. »
Il me semble que si on entreprend d’élucider ce genre de questions (fondements des religions ou, peut-être pire encore, du patriotisme) on ne devrait pas s’attendre à rencontrer un grand enthousiasme, même de la part de collègues universitaires (historiens, philosophes ou autres) qui ont appris soit à les esquiver soit à ne les approcher que d’une manière fort prudente. Même si les occidentaux se sont peu à peu habitués à ce que leurs différents religions se côtoient avec moins de problèmes que par le passé et que seuls les militaires de carrière sont désormais dans l’obligation d’accepter de mourir pour la Patrie, il s’agit de choses pour lesquelles, me semble-t-il, il est très mal vu de jeter une lumière crue sous le regard de tous.
La science de l’homme pour l’humanité d’aujourd’hui serait donc la recherche de ce que nous ne savons pas encore de l’humain à travers l’étude de ce que savent les sociétés autres et que nous ne savions pas encore.
Pratiquement ce serait une science du dialogue entre les sociétés et civilisations inscrites dans le devenir historique et dont l’objet est conditionné par la question pressante du comment sauver l’humanité, puisque la perfectibilité humaine comme condition humaine est désormais compromise avec l’extinction possible du genre humain. Résumons : l’humanité pour survivre doit mieux se comprendre elle-même et cela passe par l’intégration des différentes sociétés composant l’humanité dans son ensemble à un nouveau stade évolutif.
Je ne n’imagine pas qu’elle puisse être autre chose qu’un dialogue y compris via des phases d’incompréhension résultant des approches différenciées, sans quoi nous retomberions dans le biais ethnocentrique qu’il fallait éviter.