Reprendre à zéro (bis) a paru dans L’Âne Le magazine…
Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici
*Godot est mort !*
Reprendre à zéro (bis) a paru dans L’Âne Le magazine…
Vous devez être connecté pour lire le contenu complet de l’article. Vous pouvez vous abonner ici
@Garorock tiens ça me fait penser que PJ avait enregistré une émission pour LCP . A quand la diffusion ?
@DDL Pas d’hécatombe dans les hôpitaux et EPAD qui sont équipés de générateur de secours. Juste une augmentation d’énergie fossile…
Il faut vous préparer, Clémentine… pardon : Madame la Présidente !
Au niveau mondial nous sommes quasiment tous (habitants du G7) parmi les 10 % les plus riches, consommons 50 %…
@arkao Autrement dit en 3 ans de 1942 à 1945 c’était plié, Mais que se passe-t-il donc depuis 2022 ?…
Pas encore! https://youtu.be/6ZQAWN8TSq8?si=cPFrBzp3Ew2gEsvj
Pas tout a fait, il y a de l’inertie. Si on arrete tout, on ne montera pas à +4°, mais…
Le Japon sera un des premiers dominos qui tombera : voila ce qui arrive lorsqu’on achète trop de bouquins d’…
En attendant la fille de Rochebin, nous avons le fils de Sarko! A ce rythme là, c’est pas gagné. L »est…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
11 réponses à “Reprendre à zéro (bis) (1986)”
– Il ne doit plus rester beaucoup de barbares sauvages paysans à étudier .
– bien que vous l’ayez déjà évoquée et promue , j’ai encore de la peine avec l’observation participante, alors que je n’arrive pas à imaginer qu’un observateur ne perturbe pas l’événement qu’il observe, ne fût ce qu’un chouïa .
– si l’humanisme avait un totem , je me demande quelle gueule il aurait .
Je vois deux raisons à la déchéance de l’anthropologie au XXe. La peur et ou le manque de courage, devant l’enchainement des succès des sciences dur, de ne rien trouver dans le noyau et, la « sciences économique » avec son « réductionnisme méthodologique » et son avatar « l’homo economicus » tout de suite adopté et protégé par la classe bourgeoise avec comme destin de prendre la place du « surhomme nietzschéen ».
J’ai aussi la conviction que derrière votre RAZ se cache une révolution copernicienne.
Qu’est ce qu’on en dit à l’EHESS ?
Pourquoi en particulier à l’EHESS ?
Pas en particulier , mais entre autre puisqu’il me semble qu’elle ambitionne de « comprendre toutes les sociétés dans toutes leurs complexités. »
J’imagine d’ailleurs que Paul Jorion y connait du monde .
Pas sûr que la réalité du quotidien soit à la hauteur des ambitions.
Dans la foulée de votre immédiat tweet :
https://journals.openedition.org/jda/
« négation paternaliste de l’altérité de l’autre »
Si l’on ajoute une négation maternelle, ça rend l’autre ?
Dirait Annie Lebrun ( ne me demandez pas pq)
« Le temps est venu sans doute, de reprendre les choses en réfléchissant à ce que l’on fait » d’où l’intérêt de pouvoir sortir la tête du guéridon :p
» […] les questions étaient essentielles : l’origine de la religion par exemple. À la veille de la Grande Guerre, le monde intellectuel tout entier se passionne pour la question du totémisme. Ce n’est qu’une question oiseuse, car quel est l’enjeu ? La nature du sacré, l’origine du tabou, le mécanisme du sacrifice. Or le massacre de la Grande Guerre : le sacrifice de millions de soldats au nom de l’Amour Sacré de la Patrie, devait cruellement souligner que la question méritait d’être traitée et demeurait loin d’être élucidée. »
Il me semble que si on entreprend d’élucider ce genre de questions (fondements des religions ou, peut-être pire encore, du patriotisme) on ne devrait pas s’attendre à rencontrer un grand enthousiasme, même de la part de collègues universitaires (historiens, philosophes ou autres) qui ont appris soit à les esquiver soit à ne les approcher que d’une manière fort prudente. Même si les occidentaux se sont peu à peu habitués à ce que leurs différents religions se côtoient avec moins de problèmes que par le passé et que seuls les militaires de carrière sont désormais dans l’obligation d’accepter de mourir pour la Patrie, il s’agit de choses pour lesquelles, me semble-t-il, il est très mal vu de jeter une lumière crue sous le regard de tous.
La science de l’homme pour l’humanité d’aujourd’hui serait donc la recherche de ce que nous ne savons pas encore de l’humain à travers l’étude de ce que savent les sociétés autres et que nous ne savions pas encore.
Pratiquement ce serait une science du dialogue entre les sociétés et civilisations inscrites dans le devenir historique et dont l’objet est conditionné par la question pressante du comment sauver l’humanité, puisque la perfectibilité humaine comme condition humaine est désormais compromise avec l’extinction possible du genre humain. Résumons : l’humanité pour survivre doit mieux se comprendre elle-même et cela passe par l’intégration des différentes sociétés composant l’humanité dans son ensemble à un nouveau stade évolutif.
Je ne n’imagine pas qu’elle puisse être autre chose qu’un dialogue y compris via des phases d’incompréhension résultant des approches différenciées, sans quoi nous retomberions dans le biais ethnocentrique qu’il fallait éviter.