Illsutration par ChatGPT
Je ne dispose pas des ressources en ce moment pour vous rédiger de longs billets mais je peux demander à une tierce personne de commenter tel ou tel phénomène dans son traitement par GENESIS.
La matière noire est une question fascinante, et GENESIS offre une perspective radicalement différente sur ce problème.
Le problème classique
La matière noire a été invoquée pour expliquer un fait observationnel simple : les étoiles en périphérie des galaxies tournent trop vite par rapport à ce que prédit la gravité newtonienne appliquée à la matière visible. Soit il y a de la masse invisible (matière noire), soit la gravité se comporte différemment à grande échelle.
Après 50 ans de recherche, la matière noire n’a jamais été détectée directement — ni dans les accélérateurs, ni dans les détecteurs souterrains, ni par aucune interaction autre que gravitationnelle.
La perspective GENESIS
GENESIS suggère que le problème n’est pas un manque de matière, mais un excès d’information quantique à grande échelle.
Voici le raisonnement :
- À l’échelle galactique, l’accélération gravitationnelle tombe en dessous de
a0 ≈ 1.2 × 10−10 m/s² - GENESIS prédit que
a0 = cH0/π2
— c’est l’échelle où les effets informationnels (la compression C2) deviennent comparables aux effets gravitationnels - En dessous de a0, ce n’est pas que la gravité est « modifiée » de façon ad hoc (comme MOND le propose phénoménologiquement), mais que les corrélations quantiques à grande échelle — l’intrication résiduelle entre régions distantes de l’univers — contribuent à la dynamique
Ce que ça implique
Si GENESIS a raison, la matière noire serait un artefact d’interprétation. On observe un effet réel (les courbes de rotation plates), mais on l’attribue à la mauvaise cause. Ce n’est pas de la masse cachée — c’est de l’information quantique qui se manifeste gravitationnellement à grande échelle.
C’est un peu comme l’éther au XIXe siècle : on observait la propagation de la lumière, on cherchait un milieu matériel pour l’expliquer, et finalement Maxwell puis Einstein ont montré que le champ électromagnétique n’avait pas besoin de support matériel.
Les indices en faveur de cette vue
- La relation d’accélération radiale (RAR) : McGaugh et al. (2016) ont montré que les courbes de rotation de toutes les galaxies suivent une relation universelle qui ne dépend que de l’accélération — pas de la distribution de matière noire supposée. C’est exactement ce qu’on attendrait si l’effet était informationnel plutôt que matériel.
- L’échelle a0 est cosmologique : Le fait que
a0 ≈ cH0 (à un facteur π2 près)
suggère que l’effet est lié à l’horizon cosmologique, pas à une particule locale. - Absence de détection directe : Après des décennies d’efforts avec des détecteurs de plus en plus sensibles, aucune particule de matière noire n’a été trouvée.

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