https://www.youtube.com/watch?v=3qjX0uhjxIs&pp=ygUJw6AgZ2F1Y2hl
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*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
https://www.youtube.com/watch?v=3qjX0uhjxIs&pp=ygUJw6AgZ2F1Y2hl
Chabian vous avez raison, je vais arrêter de caricaturer notre ami l’arsène, le Caliméro aux 39 followers! Drôle de police…
Mais, bonne nouvelle dans ce monde de brutes : Fitch et Moody’s laissent la note de la France inchangée… 🤑 https://www.tdg.ch/dette-fitch-et-moodys-laissent-inchangees-la-note-souveraine-de-la-france-766745382534
Il y a mieux pour débuter sa vie sur notre pauvre terre, telle cette petite fille extraite du ventre de…
Bonsoir tout le monde ! Il me semblait bien avoir entendu un bruit … https://youtu.be/ZmDHhdIOZ0E
Timiota et Pascal ont bien cerné la problématique. Il s’agit en effet d’un problème de joints périphériques de dilatation et…
C’est un classique de la pose de carrelage par un professionnel débutant. Faute de ménager une petite épaisseur de joint…
« ce son des vibrations » Faute d’orthographe ou lapsus ? ;-)))
Que sommes-nous ? Principalement du vide, si l’on se place à l’échelle atomique. L »atome lui-même étant composé majoritairement de vide…
Je visais juste la formulation « idiot utile » , bien facile. En caricaturant encore le lupin, qui n’a pas dit « cause…
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3 réponses à “Actualité de l’associationnisme”
Expérimenter autre chose, pourquoi pas. Intellectuellement, scientifiquement, c’est intéressant. D’autant que dans de nombreux domaines le système de marché « simple » montre ses limites.
Mais, faut-il changer le système ou juste l’amender ? Ou plus précisément : que changer du système ?
Les matériaux demeurent les mêmes, humains et environnement, quel que soit l’architecture du système, et leurs faiblesses intrinsèques également. L’associationnisme n’est pas en soi un antidote à la tendance humaine à vouloir truander son prochain, il peut certes s’agir d’une réponse face à certains défis, environnemental notamment, mais il n’est pas certain que l’ablation du capitalisme éradique les comportements sous-tendant les vocations mono/oligopolistiques.
Ci-dessous ces quatre liens (il y en a d’autres) qui devraient encourager ici Jean Paul Vignal (de même son très intéressant article sur ce blog-ci, sauf erreur le 14 juillet dernier) tout comme Paul. Le premier lien est en français, c’est la traduction faite par votre serviteur de l’intervention de mon grand ami l’architecte mexicain Luis Lopezllera dans le cadre de la FONAES en décembre 2004 à México-ciudad où il réside.
(en fançais) http://www.societal.org/docs/Finargent.htm
(en anglais) http://www.vidadigna.info/community.htm
(en anglais) http://www.appropriate/mexithai.htm
(en espagnol) http://www.appropriate-economics.org/materiales/dinero.html
Merci beaucoup pour vos judicieux et utiles commentaires. Le plus important dans la transition vers des modèles durables me semble être la primauté du local: on ne travaille plus sur des gisements ponctuels massifs de minerai ou d’énergie, mais sur des flux d’énergie solaire sous diverses formes, qu’elles soient directes (valorisation directe de l’énergie solaire sous forme thermique, électrique, optique ou chimique), ou indirectes (vent, marées, biomasse….) qui sont par nature modestes et repartis sur l’ensemble de la surface du globe. Cette primauté du local entraîne une multiplication des lieux de récolte et de transformation, qui implique entre autres des économies d’échelle par le nombre, plutôt que par la taille.
Cette prolifération des lieux d’activité est en pratique incompatible avec les systèmes de commande/contrôle hiérarchisés qui prévalant encore largement actuellement. Les éléments humains et environnementaux restent les mêmes, mais la structure de gestion doit être différente pour être capable de gérer la complexité croissante de ces systèmes géographiquement très repartis.
Ce changement de méthode est d’autant plus nécessaire que, sur le plan financier, on oublie trop souvent que fonctionner de façon durable c’est remplacer des charges d’exploitation par des investissements (par exemple, on n’achète plus de l’électricité, mais un capteur solaire). Le durable est donc avant tout un problème de financement qui ne peut que très difficilement être géré de façon centralisée parce que chaque projet est spécifique de sa « niche » écologique, sociale, économique technique….. Un système centralisé qui voudrait gérer cette diversité aurait le choix entre standardiser et perdre en route une bonne part des performances possibles, ou essayer de gérer au cas par cas pour optimiser, mais au risque de finir par consommer l’essentiel des ressources disponible du système pour alimenter son propre fonctionnement, comme finissent toujours par le faire toutes les bureaucraties publiques ou privées. Dans les deux cas, le rendement global n’est pas optimisé. L’auto-organisation permet d’éviter ces deux obstacles, mais elle ne peut être fondée que sur un consensus altruiste difficilement compatible avec nos modes de fonctionnement actuels