@Garorock tiens ça me fait penser que PJ avait enregistré une émission pour LCP . A quand la diffusion ?
Email a copy of 'Goldman Sachs aujourd’hui (V) – Le jour où Wall Street paria sur sa propre perte' to a friend
*Godot est mort !*
@Garorock tiens ça me fait penser que PJ avait enregistré une émission pour LCP . A quand la diffusion ?
@DDL Pas d’hécatombe dans les hôpitaux et EPAD qui sont équipés de générateur de secours. Juste une augmentation d’énergie fossile…
Il faut vous préparer, Clémentine… pardon : Madame la Présidente !
Au niveau mondial nous sommes quasiment tous (habitants du G7) parmi les 10 % les plus riches, consommons 50 %…
@arkao Autrement dit en 3 ans de 1942 à 1945 c’était plié, Mais que se passe-t-il donc depuis 2022 ?…
Pas encore! https://youtu.be/6ZQAWN8TSq8?si=cPFrBzp3Ew2gEsvj
Pas tout a fait, il y a de l’inertie. Si on arrete tout, on ne montera pas à +4°, mais…
Le Japon sera un des premiers dominos qui tombera : voila ce qui arrive lorsqu’on achète trop de bouquins d’…
En attendant la fille de Rochebin, nous avons le fils de Sarko! A ce rythme là, c’est pas gagné. L »est…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
10 réponses à “Goldman Sachs aujourd’hui (V) – Le jour où Wall Street paria sur sa propre perte”
Merci beaucoup pour toutes ces explications qui s’avèrent très claires même pour un néophyte comme moi.
édifiant ! merci pour la clarté de cette analyse.
Merci aussi, c’est clair. Il faudrait comprendre par quel mécanisme
les aléas moraux sont engendrés… Deux questions:
Quelle est la proportion prise finalement par de ces paris par rapport aux autres produits?
Comment ces mécanismes peuvent est caché aussi bien à leur client?
Si quelqu’un sait…
Mon cher Paul, je lis depuis longtemps ton site. J’ai même une ou deux fois tenté d’exprimer une idée qui me semble aller de soi. Puisque « l’industrie financière », laissée aux mains du secteur privé, conduit à de tels désastres, désastres aggravés par le cynisme des opérateurs, pariant selon tes propres termes sur la faillite pour gagner à titre personnel encore et encore, pourquoi banques et assurances ne sont-elles pas « nationalisées » ? En lisant les papiers qui se sont succédés sur ton site, je dois constater que les propositions restent toujours à l’intérieur de l’immuable système du capitalisme financier privé. Certes, on détaille des mesures pour surveiller, contrôler, voire punir, ceux qui agiraient inconsidérément. Mais, peuvent-ils faire autrement si « en principe », la société admet la logique d’une recherche à tout prix du gain optimal pour un individu ou un groupe d’intérêts privés ?
Bref, mon cher Paul, je voudrais que tu expliques sur ton site pourquoi on peut – à la fois – faire l’impasse sur la nationalisation de « l’industrie financière » et par quelques mesures adéquates prétendre changer l’industrie financière privée et les spéculateurs … en quoi au fait.
Je me pose la même question que Jérôme concernant la nationalisation. Il me semble d’ailleurs que l’existence de ces établissements « too big to fail » met à mal les principes du libéralisme, dans la mesure où ces acteurs n’auront pas à affronter les conséquences de choix catastrophiques, puisqu’ils seront sauvés par les finances publiques. De plus petits établissements doivent, eux, prendre garde à leur positionnement car ils risquent à tout moment de mettre la clef sous la porte. Ces acteurs règleront donc leur comportement sur les conséquences de leur choix. Mais les premiers sont-ils soumis à la même « loi » économique et vont-ils s’auto-réguler ? Sans doute pas puisque les conséquences négatives seront, dans certains cas, moins lourdes (puisqu’elles seront « rattrapées » par l’Etat) pour ces établissements que les éventuelles conséquences positives. Il n’y a donc pas d’autorégulation des choix (il semble d’ailleurs que ce soit ce qu’on observe en ce moment aux USA si j’en crois votre témoignage de vendredi dernier dans votre séquence « le temps qu’il fait »). La menace de nationalisation de ces établissements en cas de grosse erreur de gestion ne serait-elle pas la seule menace crédible pour empêcher ces banques de faire n’importe quoi ?
« financial overhaul »avec ses 2300 pages …..
il y a aussi « le magasin des suicides » de Jean Teulé et ses 157 pages!Une lecture plus adaptée pour la plage peut être?
M’enfin, le type de comportement est suicidaire pour les états qui ont besoin des banques pour se financer. Mais le coté suicidaire pour les banques reste tout de même a définir. Elles se font peut être la guerre mais se n’est pas du suicide, puisqu’il y a un interet a la faire. Le suicide c’est pour les clients des banques pas pour les banques, pas encore …
Bonjour,
le comportement n’est pas suicidaire, il répond simplement à des enjeux court-termistes pour les acteurs. La notion de « je vide la caisse avant l’effondrement » correspond mieux que suicide.
Sachant en plus que les états « rallongent » en cas de besoin, ce n’est plus du suicide mais un raisonnement bigrement logique, voire totalement professionnel…
M’enfin, vider la caisse avec de l’argent qui appartient a d’autre, c’est surement aussi un peut, voir beaucoup, suicidaire. 🙂 🙂
M’enfin en plus de leur suicide a moyen terme, que devrait ont ont dire du masacre que cela va impliquer dans les strutures fragiles ? financièrement bien sur ….
Peut être que l’attention est l’unique rempart a l’interet …. ( copyrigth 🙂 🙂 )
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