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Goldman Sachs aujourd’hui (V) – Le jour où Wall Street paria sur sa propre perte – Blog de Paul Jorion

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10 réponses à “Goldman Sachs aujourd’hui (V) – Le jour où Wall Street paria sur sa propre perte”

  1. Avatar de thiathias

    Merci beaucoup pour toutes ces explications qui s’avèrent très claires même pour un néophyte comme moi.

  2. Avatar de Jean-Emmanuel
    Jean-Emmanuel

    édifiant ! merci pour la clarté de cette analyse.

  3. Avatar de tata
    tata

    Merci aussi, c’est clair. Il faudrait comprendre par quel mécanisme
    les aléas moraux sont engendrés… Deux questions:

    Quelle est la proportion prise finalement par de ces paris par rapport aux autres produits?

    Comment ces mécanismes peuvent est caché aussi bien à leur client?

    Si quelqu’un sait…

  4. Avatar de Jérôme Grynpas
    Jérôme Grynpas

    Mon cher Paul, je lis depuis longtemps ton site. J’ai même une ou deux fois tenté d’exprimer une idée qui me semble aller de soi. Puisque « l’industrie financière », laissée aux mains du secteur privé, conduit à de tels désastres, désastres aggravés par le cynisme des opérateurs, pariant selon tes propres termes sur la faillite pour gagner à titre personnel encore et encore, pourquoi banques et assurances ne sont-elles pas « nationalisées » ? En lisant les papiers qui se sont succédés sur ton site, je dois constater que les propositions restent toujours à l’intérieur de l’immuable système du capitalisme financier privé. Certes, on détaille des mesures pour surveiller, contrôler, voire punir, ceux qui agiraient inconsidérément. Mais, peuvent-ils faire autrement si « en principe », la société admet la logique d’une recherche à tout prix du gain optimal pour un individu ou un groupe d’intérêts privés ?
    Bref, mon cher Paul, je voudrais que tu expliques sur ton site pourquoi on peut – à la fois – faire l’impasse sur la nationalisation de « l’industrie financière » et par quelques mesures adéquates prétendre changer l’industrie financière privée et les spéculateurs … en quoi au fait.

    1. Avatar de philippe
      philippe

      Je me pose la même question que Jérôme concernant la nationalisation. Il me semble d’ailleurs que l’existence de ces établissements « too big to fail » met à mal les principes du libéralisme, dans la mesure où ces acteurs n’auront pas à affronter les conséquences de choix catastrophiques, puisqu’ils seront sauvés par les finances publiques. De plus petits établissements doivent, eux, prendre garde à leur positionnement car ils risquent à tout moment de mettre la clef sous la porte. Ces acteurs règleront donc leur comportement sur les conséquences de leur choix. Mais les premiers sont-ils soumis à la même « loi » économique et vont-ils s’auto-réguler ? Sans doute pas puisque les conséquences négatives seront, dans certains cas, moins lourdes (puisqu’elles seront « rattrapées » par l’Etat) pour ces établissements que les éventuelles conséquences positives. Il n’y a donc pas d’autorégulation des choix (il semble d’ailleurs que ce soit ce qu’on observe en ce moment aux USA si j’en crois votre témoignage de vendredi dernier dans votre séquence « le temps qu’il fait »). La menace de nationalisation de ces établissements en cas de grosse erreur de gestion ne serait-elle pas la seule menace crédible pour empêcher ces banques de faire n’importe quoi ?

  5. Avatar de rodolphe
    rodolphe

    « financial overhaul »avec ses 2300 pages …..
    il y a aussi « le magasin des suicides » de Jean Teulé et ses 157 pages!Une lecture plus adaptée pour la plage peut être?

  6. Avatar de logique
    logique

    M’enfin, le type de comportement est suicidaire pour les états qui ont besoin des banques pour se financer. Mais le coté suicidaire pour les banques reste tout de même a définir. Elles se font peut être la guerre mais se n’est pas du suicide, puisqu’il y a un interet a la faire. Le suicide c’est pour les clients des banques pas pour les banques, pas encore …

    1. Avatar de Grosjean
      Grosjean

      Bonjour,

      le comportement n’est pas suicidaire, il répond simplement à des enjeux court-termistes pour les acteurs. La notion de « je vide la caisse avant l’effondrement » correspond mieux que suicide.
      Sachant en plus que les états « rallongent » en cas de besoin, ce n’est plus du suicide mais un raisonnement bigrement logique, voire totalement professionnel…

    2. Avatar de logique
      logique

      M’enfin, vider la caisse avec de l’argent qui appartient a d’autre, c’est surement aussi un peut, voir beaucoup, suicidaire. 🙂 🙂

      M’enfin en plus de leur suicide a moyen terme, que devrait ont ont dire du masacre que cela va impliquer dans les strutures fragiles ? financièrement bien sur ….

      Peut être que l’attention est l’unique rempart a l’interet …. ( copyrigth 🙂 🙂 )

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