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Et quand les « Esprits Malfaisants » la chatouillent beaucoup, la Gaïa, elle bouge encore plus. Les habitants du village de Lochwiller…
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4 réponses à “Écorama, « La prochaine crise sera celle de la disparition de l’euro ! » alerte Paul Jorion, le 6 juin 2018”
Pourquoi les sociétés echouent a resoudre les problemes
echouent a percevoir les problemes
1
un conflit d »interet entre les interets a court terme ddes élites et les interets a long terme de la societe dans son ensemble
specialement si les elites ont la possibilite de s’isoler des consequences de leurs actions
elites du monde du business aussi font des choses bonnes pour elles sur le court-terme mais mauvaises pour la société sur le long terme
2
conflit impliquant des valeurs fortes
qui sont positives dans beaucoup de circonstances mais negatives dans d’autres.
=> reticent aux changements
p.e. Australie
il est difficile de changer de direction quand les choses qui vous attirent des ennuis sont aussi celles qui font votre force
Jared Diamond : Pourquoi les sociétés s’effondrent-elles?
« Nous sommes une espèce versatile, opportuniste et – pire de tout – une espèce colonisatrice qui envahit son environnement, le dévaste et le détruit. »
C’est pas nouveau et au cours des siècles ça a provoqué des catastrophes entraînant la disparition de civilisations dont nous retrouvons les traces (parfois grandioses, mais personne ne connait le nombre de celles qui ont disparu sans laisser derrière elles des choses aussi visibles que les pyramides d’Egypte ou la Grande Muraille de Chine.)
Ce qui est différent cette fois c’est que les catastrophes de toutes sortes que nous avons les moyens de provoquer sont d’un niveau qui n’a plus rien à voir avec les catastrophes provoquées dans le passé.
Nous avons d’énormes difficultés à prendre conscience de notre invraisemblable puissance de destruction.
« C’est pas nouveau ». Non : nous sommes nés comme ça.
Il me semble incohérent de consacrer tant d’énergie et de bonne volonté à alerter les consciences de l’absolue nécessité de stopper le train fou qui fonce dans ravin… et penser qu’une dissolution de l’euro et de l’UE irait dans le mauvais sens.
L’euro est une monnaie inadéquate pour quasi tous les pays de l’UE: une structure politique non démocratique, ingouvernable par définition, qui impose aux démocraties sociales continentales les dogmes néo-libéraux de croissance sans fin.
Des choix politiques décisifs doivent être faits le plus rapidement possible. L’UE et l’euro sont des obstacles, des moyens de neutralisation du politique, pas la solution. Vous semblez conserver un attachement sentimental envers la construction européenne sans avoir à l’esprit ni son origine, ni les intérêts qu’elle défend.
Votre livre sur le prix est magistral. Je n’ai pu encore lire votre ouvrage sur l’argent, longtemps indisponible en librairie pour cause de réimpression (plutôt une bonne raison). Et je vous suis à 100% dans vos analyses sur la fin de notre civilisation. Vous n’avez aucune illusion sur l’ »autonomie du politique », cette vieille lune ressassée par les pseudo-historiens de Sciences-po: nos gouvernants n’ont aucune latitude vis-à-vis de la grande banque. Vous pensez vraiment que Goldman Sachs, JP Morgan, BNP-Paribas et la SoGé, la chimie allemande (Bayer-Monsanto…) etc. seront des alliés conséquents pour arrêter la machine folle?
Autre question, plus théorique:
Ne pourrait-on pas considérer que la dette publique joue le rôle de l’or dans notre monde post Bretton Woods?