Texte de synthèse inédit en plusieurs parties sur cette question…
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*Godot est mort !*
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Tu valides ?
Le rêve de 16h25 (RV) … La réalité de fin de journée : (MDP) » Plusieurs pays, dont l’Allemagne ou…
Yep! Content que tu aies regardé.* T’as vu à la fin le québéquois qui parle du boycott? Et l’autre qui…
@ Vincent Oui, la situation est très très grave et peu de gens, semblent s’en rendre compte. Il ne fait…
« nos généraux de plateaux télé qui ont eux une légitimité un peu mieux fondée », à oui ? Et laquelle ?…
Merci Garo. Excellent débat.
Il y a anguille sous roche dans cette affaire, des choses vraiment pas claires apparaissent, que ça soit avec le…
Je pense que je suis allé chercher avec cette musique au plus profond de moi cette structure vivante qui me…
Si je te dis que tu n’as pas répondu à mon commentaire pourtant simple, tu valides ?
Des gens qui se tuent, tous sans savoir pourquoi…ah ça va être un joli spectacle… effondrement Je ne sais pas…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
Une réponse à “Le totémisme (I) – Laissé à d’autres par les anthropologues”
A lire votre dernier paragraphe , je me suis retrouvé au milieu des années 60 dans ma période africaine , en revivant cette sensation étrange qui a été la mienne , seul » blanc » ( sauf un indigène local albinos que ses congénères appelaient » le mauvais blanc » !) dans un rayon de 50 kms , en forêt des abeilles . Après être passé par une phase « qu’est ce que je fais là ? » , grâce à mes taches quotidiennes j’étais entré dans une forme de convivialité un peu étrange avec les habitants du village où j’avais pris mes quartiers , sans comprendre la moitié de ce qui se passait et jouait autour de moi . J’avais aussi été frappé du rapprochement que j’avais fait entre ma situation vis à vis de la collectivité qui m’accueillait , et celles des petits groupes pygmées qui étaient considérés par la collectivité un peu comme elle pouvait regarder l’étranger ( « ondele , etangani … ») que j’étais . Au bout de trois à quatre mois , j’avais admis comme une évidence paisible que je « n’appréhendais pas le monde » comme mon village d’adoption , mais cela ne me dérangeait plus en rien , même si , pour faire le boulot que je devais assumer avec eux , c’est moi qui ai du me couler dans leur appréciation différente des temps , des urgences , des dangers , des plaisirs et des refus .