En 2012, dans l’une de mes chroniques du journal Le Monde (« La machine à concentrer la richesse »), je proposais sous le nom de « taxe Sismondi » ce que d’autres, et en particulier Benoît Hamon, appelleraient par la suite « taxe-robot » : que toute travailleuse ou tout travailleur remplacé par une machine (ou la communauté dans son ensemble bien sûr) bénéficie à vie d’une taxe perçue sur la valeur ajoutée produite par cette machine.
Merci pour ces précisions. Quand on joue avec le noyau, ça peut faire mal. Ça me rappelle une de mes…
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