En 2012, dans l’une de mes chroniques du journal Le Monde (« La machine à concentrer la richesse »), je proposais sous le nom de « taxe Sismondi » ce que d’autres, et en particulier Benoît Hamon, appelleraient par la suite « taxe-robot » : que toute travailleuse ou tout travailleur remplacé par une machine (ou la communauté dans son ensemble bien sûr) bénéficie à vie d’une taxe perçue sur la valeur ajoutée produite par cette machine.
Personnellement je pense que la singularité sera atteinte lorsque les IA développeront des stratégies pour que les humains n’aient aucun…
Répondre à Christian Brasseur Annuler la réponse