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*Godot est mort !*
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10 réponses à “Le psychanalyste comme mentor”
….Comme au début de La Survie de l’Espèce….
C’est vrai, j’y ai pensé.
C’est un peu pour la même raison que cette dualité évoquée , que je m’étais interrogé sur les anthropologues :
https://www.pauljorion.com/blog/2021/05/07/incroyable-mais-vrai-nous-ne-sommes-pas-surs-de-savoir-ce-que-cest-que-penser-comme-un-glacier/#comment-848018
Au boulot, avec mes collègues de bureau, j’ai introduit l’expression expiatoire « c’est la vie » comme explication du désordre et de l’incurie des collaborateurs hors département. Bien sûr, chaque fois que je sentais nécessaire d’étoffer l’explication, je puisais dans des petites histoires dont ils étaient eux-mêmes les protagonistes. L’expression a fait florès pour mon plus grand bien et la sérénité au travail. J’avoue, aussi loin que je me souvienne, être né avec le stoïcisme collé aux baskets.
Re bonsoir monsieur Jorion,
Je n’ai pas pu m’empêcher de relever les termes dans lesquels vous avez évoqué l’abréaction lors de la cure psychanalytique dans votre dernier article. La proximité des termes avec ceux employés par Freud est-elle une coïncidence ou les manifestations sont-elles exclusivement de cet ordre ou bien peuvent-elles emprunter d’autres formes ?
Re-merci.
(Pour l’anecdote, je ne peux m’empêcher d’y voir la méthode par laquelle les policiers confondent les faux-témoins dans les séries policières… discours stéréotypé, récit identique dans les mêmes termes. N’y voyez pas malice, c’est peut être aussi juste la révérence envers le Maître, ou une citation, comme lorsque j’évoquais « d’être taxé lourdement » pour venir m’épancher de mes malheurs petit-bourgeois…)
En effet. On s’égare dans des histoires répétées : un titre, que sais-je ? Or c’est le souvenir d’un événement : plouf ! qui tenait en réalité la clé !
Bonsoir monsieur Jorion,
Merci pour votre réponse. Je n’ai cependant pas dû être très clair…
Ce que je soulignais c’est que votre description de l’abréaction (« larmes, bouffées de chaleur » et peut-être un troisième terme qui m’échappe) sont les termes mêmes de Freud (Introduction à la psychanalyse, je crois) – d’où l’anecdote où je ne voulais pas que vous voyiez malice – et je me demandais dès lors si l’abréaction n’empruntait que ces modes d’expression (« larmes », « bouffées de chaleur », …) ou si cela pouvait se manifester autrement ?
Euh… je ne pense pas que ce soit accidentel que je dise la même chose que Freud quand je parle de psychanalyse : il en est l’inventeur, et je renvoie à sa pensée délibérément.
Désolé monsieur Jorion, je dois être terriblement confus quand je m’exprime…
Je remarque que vous employez exactement les mêmes termes que Freud – mots pour mots – et il me semble même l’avoir lu de manière générale dans la description du phénomène d’abréaction. À savoir « larmes », « bouffées de chaleur » et le troisième terme qui m’échappe. J’ai bien conscience que cela renvoie à une réalité, à savoir la manifestation de ce phénomène d’abréaction à travers ces expressions physiques. Mais question est : y-a-t-il d’autres types de manifestations possibles ou cette liste est-elle close (ces trois là et aucune autre et sinon lesquelles) ?
J’espère avoir été clair cette fois. Désolé de vous faire perdre votre temps avec ce qui est sûrement une évidence pour vous.
À la relecture matinale, je comprends toujours ce que j’ai voulu dire et cela ne m’apparaît pas si confus que cela…
Nevermind !
(Quand je constate les difficultés que l’on a à se comprendre par écrit, je me dis qu’on est tous fous d’essayer de communiquer sur internet… Pas étonnant que cela dégénère systématiquement si c’est déjà si compliqué entre gens de bonne volonté !)
(Et pas besoin de vodka 😉 )
Bonne journée !