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3 réponses à “La pensée comme dynamique de mots”
[…] : La pensée comme dynamique de mots […]
Sincèrement, (mais « qu’appelle-t-on penser»), les mots ne me semblent pas indispensables à « toute » pensée, les mots sont pratiques pour l’exposition la conservation la transmission de la pensée (la rationalisation de ce qui était déjà pensée).
Le processus qui engendre un nouveau concept ou un agencement nouveau de concepts pourrait bien se situer à un niveau « proto-conceptuel » et «pré-linguistique ».
Des transformations de formes abstraites ou des enchainements analogiques, des mouvements affectifs, des relations transposées, une rhétorique tournure (pardonnez mes tâtonnements et mes hésitations)….me paraissent à la naissance de bien des découvertes.
Je me souviens du livre qu’avaient écrit Crick et Watson où ils soulignaient l’importance du bricolage, de l’intelligence des mains, avant l’énonciation de la structure de la double hélice.
Un travail sous-terrain, sans doute souvent ignoré, peut-être dénié…précède l’énonciation. Avant de prononcer ou d’écrire cette phrase son contenu était déjà pensée.
Parfois les mots précisent une pensée, parfois ils ne parviennent à en restituer qu’une bribe ou une brume.
Les miennes sont brumeuses, ok !
Le processus de « penser » se déroulant au long du continuum qui va des tréfonds de l’inconscient à la formule mathématique, à l’aphorisme ou au fragment polysémique, il me semble plus traverser les mots qu’y naître et y résider.
Si quelqu’un peut me fournir des liens vers des développements de cette amorce je l’en remercierai.
[…] une ouverture de ce clivage apparait en commentaire de blog : “Le processus de « penser » se déroulant au long du continuum qui va des tréfonds de […]