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6 réponses à “Le Monde, Fannie Mae et Freddie Mac entre faillite et nationalisation, le mardi 2 septembre”
En dernier ressort, le gouvernement US devra résoudre la crise financière soit en assumant la dette douteuse soit en laissant filer l’inflation soit les deux. Nous Européens, nous redoutons l’inflation qui a conduit Hitler au pouvoir. Les Américains redoutent la déflation associée à la crise des années 30. La FED a echoué dans tout ce qu’elle a tenté.
Sommes-nous au début de l’age glaciaire du crédit ? Franchement, Paul, votre billet fait peur.
Cela fait peur effectivement. Mais j’ai une question, si faillite il y a, enfin faillite ou mise sous protection d’une loi dont je ne sais plus le nom ou le numéro, et bien, qu’en sera-t-il des dettes à rembourser, des titres achetés massivement par la Chine la Russie etc ? Et qu’en sera de la crédibilité des USA à rembourser leurs dettes, je pense déjà aux dettes encore plus colossales publiques, de l’état, des états, etc. Y a-t-il encore par exemple quelqu’un qui osera acheter des bons du trésor si le trésor lui même n’est pas capable de garantir les dettes d’entreprises semi publiques/privées qui ont abusé pendant des années d’une situation privilégié et du soutien maintes fois réaffirmé du trésor à sauver ces entreprises ?
et est-ce que la remontée du dollar est signe du retour de la confiance des investisseurs ?
Qu’en est il de l’économie réelle ? je veux dire, tous les prêts souscrits ces dernières années ne sont pas « subprime ». Hormis les spéculateurs qui ont du revendre à perte et autres « gogos » à qui on a vendu le rêve d’être propriétaires sans rien débourser ou presque et qui se voient aujourd’hui expulsés, le remboursement des prêts classiques prime, altA continuent à générer des flux importants.
On a pu lire que le pic de la crise devait intervenir cet été (prêts souscrits en 2006 et debut 2007 et ayant passé la période de « reset », c’est à dire de faible remboursements et dont la mensualité explose). Le taux de défaut ne devrait-il pas commencer à baisser mécaniquement à partir du second semestre de cette année ?
Merci de vos explications toujours limpides.
L’économie réelle est en train de digérer des pertes massives sur les crédits à la consommation et titres associés, sur des obligations émises par des entreprises, sur des rapatriements massifs vers les banques des activités de titrisation.
Je vous épargne l’effet dévastateur des LBO engagées ces dernières années. Tout ca va déboucher sur un effondrement aggravé du crédit et des liquidités.
C’est pas vrai, je raconte des blagues. Mon gérant m’a dit que les fondamentaux sont bons et « qu’il s’interroge sur le timing pour se renforcer sur le marché meme si cela lui semble encore un peu prématuré ».
Votre gérant est un malin. Il contribue à la remontée du moral par ses propos optimistes mais sans s’exposer à aucun risque : son assertion que tout renforcement sur le marché est encore « un peu prématuré » peut en effet être indéfiniment reconduite.