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37 réponses à “La vie est un super voyage, par rienderien”
Dans un bureau de poste, en France.
Aujourd’hui, fin de mois, j’ai du me confronter
aux terribles dilemmes du métier de guichetier.
Des retraits d’trois euros, on commence à en voir,
quand c’est tout ce qu’il reste et qu’il faut bien manger.
Et puis le plus terrible, en ce jour de vacances,
une mère de famille et ses trois enfants sages
qui vient pour un retrait à l’heure du déjeuner :
le compte est en débit, limite de l’IB*.
Si je fais mon boulot, je retiens le chéquier…
Sans une protestation, la jeune femme est partie,
immédiatement suivie par un homme retraité
dont le compte affichait une insolente santé.
Alors je me refuse à généraliser
mais il en est ainsi dans notre société
et tenir un guichet est un drôle de métier
qui éclaire les textes de Jorion l’érudit,
qui donne une vision de c’qu’il faudrait changer…
Merci pour cette leçon de vie.Vous avez accompli Madame ce qu’il y a de mieux: vous avez fait 4 enfants et vous avez créé une famille.
Je sais de quoi je parle ,moi qui ai perdu un fils de 27 ans.
Il manque une pièce au puzzle.
La logique de la vie est rompue.
La sérénité reste à toujours une chimère…
Chanson pour des gens qu’on empêche de voyager
Quelle France aimons-nous vraiment,
celle de Sarko, mesquine, injuste et vindicative,
ou celle de Django, vivante, chaleureuse et humaine ?
Ma première guitare
J’avais quinze ans,
C’était le temps
De ma première guitare,
Et tout ce temps
Revient souvent
Du fond de ma mémoire.
Ces quinze ans-là
C’était Django
Qui les mettait en fête.
En ce temps-là
C’était Django
Qu’on avait dans la tête.
Dans sa musique, il y avait comme une odeur de feu de bois,
Il y avait un je-ne-sais-quoi,
Moitié Harlem,
Moitié bohème.
Et sur tout ça passaient, joyeux, de merveilleux nuages,
Pareils à ceux
Qu’ont dans les yeux
Tous les gens du voyage.
Depuis ce temps,
J’ai eu le temps
De changer de guitare,
Et le gitan
De mes quinze ans
Est là dans ma mémoire.
Et, bien des fois,
C’est malgré moi,
Il me vient quelques notes
Comme un refrain
Venu soudain
Du fond d’une roulotte.
Alors sous mes doigts monte l’odeur du feu de bois,
J’entends comme un je-ne-sais-quoi
Moitié bohème
Moitié Harlem.
Et sur mon coeur passent, joyeux, ces merveilleux nuages
Pareils à ceux
Qu’ont dans les yeux
Les enfants du voyage.
(Paroles : Jean Broussole / Musique : Sacha Distel – 1978)
onreflechit@yahoo.fr