Je vous suggère, sinon de lire cet ouvrage « Le retour du monde magique » de Fanny Charasse, sociologue, de regarder ses…
Email a copy of 'L’année 2009 : l’ère du semblant' to a friend
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
Je vous suggère, sinon de lire cet ouvrage « Le retour du monde magique » de Fanny Charasse, sociologue, de regarder ses…
@ilicitano Cela veut dire que toute personne participant à un savoir significatif d’une entreprise ne pourra plus être salarié, mais…
Pendant que je regarde de nouveau la seconde image qui illustre ce billet, soudain, je me remémore une image d’une…
Sur la première partie (concernant l’intuition / guidance), ne serait-ce pas un autre effet des neurones miroirs ? Un degré…
Et encore vous êtes très en deçà de la Vérité ! Poutine est le dernier humaniste avant l’avènement des Ténèbres…
Si y’a Nikki pas besoin de guerre civile! Elle est bien Nikki. Bien à droite dans ses bottes.
Il me semble que le seul cas qui aurait pu mettre fin à sa candidature serait qu’il soit condamné pour…
La science n’a jamais réussi à prouver l’existence des fantômes et Alan Kardec n’est pas au panthéon. Je dis cela…
Au sujet des craquements ou bruits soudains inattendus et sans raison manifeste, j’ai appris un jour qu’un couple que je…
Mauvaise passe pour le Donald : appel rejeté dans sa condamnation pour diffamation de Jean Carroll à 83 millions de…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
82 réponses à “L’année 2009 : l’ère du semblant”
@paul et à tous,
Le billet de Paul, comme souvent, est très intéressant à lire, et repose sur des données indiscutables, tout en ayant un souffle que l’on pourrait qualifier d’épique. Quel talent.
Quel dommage que nous soyions en désaccord sur ce qui me paraît être le point fondamental, celui de l’essence de l’argent.
Dans cette situation d’endettement généralisé, et même s’il ne faut pas oublier le phénomène de l’épargne, bien sûr, ne pas accepter que c’est l’accumulation des dettes, et l’intérêt payé sur les emprunts correspondant, qui est le principal facteur de la crise actuelle – en dehors de tout ce qui est très justement dit sur l’avidité des spéculateurs et des capitalistes – me semble à la fois incompréhensible – ce qui ne serait pas le plus grave – et fort dommageable.
Cordialement,
B.L.
Hmm… vous n’avez pas lu mon livre, sans quoi vous ne m’attribueriez pas des opinions qui sont le contraire de celles que je défends.
Un petit indice, à votre intention : j’ai reçu hier le nouveau livre de Helmut Creutz, avec une dédicace très chaleureuse. Si j’avais exprimé dans « L’argent, mode d’emploi », les vues que vous m’attribuez, je doute sincèrement qu’il l’ait fait.
@Paul,
OK, je vais donc m’empresser de lire votre livre,
tous mes voeux de bonne santé pour cette année nouvelle,
cordialement,
Bruno.
@Paul,
suite de ma réponse.
Après avoir commandé votre dernier ouvrage, je suis allé voir son descriptif, qui me va tout à fait (heureusement 😉 ), ou presque.
Autant je pense, comme vous, que les revenus « non gagnés » ne méritent pas rémunération (donc que les détenteurs d’argent n’ont aucun droit à percevoir des intérêts plus ou moins pharamineux dessus), autant, pour ma part, je fais une distinction – comme Maurice Allais – entre les « vrais » capitalistes, qui se contentent de « regarder leur argent travailler », et les entrepreneurs, aux revenus légitimes (du moins ils le sont souvent).
Je n’oppose donc pas la « caste des capitalistes et chefs d’entreprise » à la cate des « travailleurs », mais, plus précisément, s’il y a opposition (ce qui est difficile de nier) c’est entre les « rentiers-captitalistes » et les « entreprises » (chef d’entreprises et collaborateurs) qu’elle se situe. Je ferai sans doute une exception pour les entreprises du CAC40, dont les dirigeants ne « méritent » peut être pas la dénomination d’entrepreneurs, et dont les revenus, aussi légitimes soient-ils lorsqu’ils font progresser leurs entreprises, deviennent illégitimes lorsqu’ils prennent la forme de parachutes dorés. Qu’en pensez vous?
Bien entendu, c’est peut être mon passé d’économiste professeur à HEC qui me fait adopter cette attitude, mais n’ayant rien à défendre, j’essaye d’être aussi objectif que possible.
D’autant plus que nous avons le m^me objectif, je pense, faire en sorte que l’argent soit au service de la collectivité, et pas à celui des plus fortunés.
Cordialement, Bruno.
Paul Jorion, L’argent, mode d’emploi, Fayard, 2009, p. 285-286.
Paul Jorion, L’argent, mode d’emploi, Fayard, 2009, p. 325.
Bonjour,
vous ne pensez pas que il faudrait souligner aussi 2009 comme l’année de l’avénement du G20 ou bien celui du G2+0 ?
Cordialement bonne année à tous
Oups ! Je ne les avais même pas remarqués ! Il aurait fallu ?
Ben euh …
c’est que ils ont le mérite d’exister quand même un peu !
@Nikademus et Jorion
Merci de la citation ad hoc du livre de Paul, que je n’ai pas encore lu (nul n’est parfait) mais seulement commandé.
Si nous sommes d’accord sur les dirigeants des grandes entreprises et l’effet pernicieux des stock options, nous ne sommes pas d’accord sur le fait que capitalistes et entrepreneurs sont dans le m^me camp.
« Ce système-là conduit, comme chacun sait, à la concentration de l’argent dans les classes auxquelles appartiennent capitalistes et entrepreneurs. »
Il ne s’agit pas de faire dire à Paul ce qu’il ne dit pas, ni de lui faire des procès d’intention (que Marx l’ai écrit lui-même ou non n’est pas très important) mais je persiste à dire que ceux qui font de l’argent avec de l’argent ne sont pas à ranger dans la m^me catégorie que ceux qui développent des entreprises et des projets. Je ne confonds pas, pour ma part, Mulliez et Rockfeller, Gates et Rotschild, Steve Jobs et Madoff.
Cordialement,
Bruno.
Certes ils ne sont pas à ranger dans la même catégorie mais la nature des projets des entrepreneurs que vous citez
n’est-elle pas d’une manière liée à la logique financière du capitalisme de casino ?
Mulliez (Auchan) ou Bill Gates (Microsoft) n’ont pas pas développé leurs projets à part le développement du capitalisme financier.
Ils ont tiré profit de la division internationale du travail qui augmente la taille des marchés et tire les salaires vers le bas, toujours pour gagner des « guerres » économiques, être compétitif à l’internationale, pour parler jargon.
La distribution de masse en flux tendus, les salaires comprimés avec horaires décalés des caissières, la pression sur les producteurs, ne seraient pas ce qu’ils sont sans le « casino » mondial de la finance qui permet au capital d’aller là où les profits sont les plus juteux, et tant pis pour les salariés et la qualité des services, sans parler de l’utilité sociale des produits.
La période est aux papiers-balais sur l’année 2009. Voici celui de Joseph Stiglitz, paru dans le China Daily (distribué en syndication). Il est intitulé « De dures leçons que nous pourrions avoir à nouveau à étudier ».
C’est en Anglais !
http://www.chinadaily.com.cn/opinion/2009-12/31/content_9249981.htm
A noter une critique au vitriol du système financier, ainsi qu’une quasi absence de propositions alternatives à la politique de l’administration Obama, sauf pour rejoindre l’orthodoxie keynésienne de Paul Krugman en faveur d’une nouvelle forte relance de l’économie.
Stiglitz écrit dans cet article : « Jamais tant d’argent ne fut transféré par tant à un si petit nombre ». Est-ce que ça ne rappelle pas Mervyn King, le gouverneur de la Banque d’Angleterre qui, paraphrasant Churchill, déclara : « Jamais tant d’argent ne fut dû à tant par un si petit nombre » ?
Evidemment, les bons mots sont eux aussi en petit nombre.
Bonjour Paul,
Puisque vous citez Helmut Creutz, autant citer aussi son blog. Même si tout un chacun n’est pas coutumier de la langue germaine, voici son site :
http://www.helmut-creutz.de/
Signé : un malade atteint de la foi du charbonnier en Silvio Gesell (désolé, c’est dur à soigner).
Meilleurs voeux à tous pour 2010.
@Pierre-Yves D
Comprenez moi, je ne veux pas dire que Steve Jobs, Bill Gates ou Mulliez ne sont pas attirés par l’argent. Mais ils ont participé à des aventures et des projets collectifs qui ont apporté des biens et services au monde. Ils ne sont pas restés les pouces croisés en regardant leur argent travailler tout seul.
On peut parler de la division du travail, certes, qui n’est pas vraiment répartie justement.
Mais il faut aussi savoir ce que l’on veut combattre. Est-ce le système de l’argent qui rapporte aux hommes aux écus, sans que ces derniers n’aient aucun mérite, sinon de regarder leur argent augmenter?
Ou est-ce tout système qui permettrait à ceux qui ont plus de compétences ou de talents, et parfois de chances, de gagner davantage que ceux qui ont moins de talent, moins de compétence et/ou moins de chance?
Lorsque Attali, Jorion ou d’Ormesson vendent leurs bouquins, d’autres qui ont moins de talent, moins de compétence et moins de chance n’en vendent pas. Faut-il interdire aux premiers d’en vendre plus qu’aux autres?
J’ai défendu par ailleurs le concept de Revenu Minimum de dignité, qui permettrait à chacun d’avoir un revenu garanti égal au 1/4 du PIB moyen, indépendamment de toute compétence ou de talent.
Faut-il aller plus loin, et faire en sorte que chacun ait le m^me revenu? Je ne le crois pas, ce n’est ni envisageable ni même souhaitable. Bien entendu, si j’étais dans le décile le plus pauvre de la population, je dirais sans doute autre chose.
Tout cela pour dire que dans le système actuel, c’est bien à l’argent qui va à l’argent qu’il faut s’attaquer, et au système d’endettement qui est régi presque entièrement par des entreprises privées, les banques.
Très cordialement,
Bruno.
Bruno Lemaire,
Il faudrait peut-être commencer par définir ce qu’est le talent.
Il faut bien constater qu’aujourd’hui c’est une logique de guerre — économique — qui oriente très nettement sa définition.
La définition qu’on en donne, quelque soient les mérites que l’on associe au talent, est d’abord quantitative avant d’être qualitative, parce que le qualitatif est en dernier ressort jugé à l’aune de critères purement quantitatifs. C’est le constat de la disparition de l’économie politique, la science économique et le management confondus dans la technique seule, les effets sociaux éventuellement positifs n’y étant que des sous-produits.
L’établissement de nouvelles règles du jeu pour le capitalisme financier aura nécessairement pour incidence de
remettre en cause la définition actuelle car l’argent en allant là où il est le plus utile socialement c’est à dire au service de projets à long terme significatifs en termes d’émancipation individuelle et de bien commun (social et écologique) le qualitatif reprendra la place qui lui revient dans une économie authentiquement humaniste, la première.
Ce projet vous paraîtra peut-être trop ambitieux, mais au point où nous en sommes il m’apparaît clairement qu’il ne ne peut plus y avoir de demie-mesure.
Ou bien nous essayons de maintenir le système avec des aménagements périphériques lesquels non seulement ne remettront pas la planète en état mais aussi aggraveront les situations déjà conflictuelles occasionnées par la guerre économiques, ou bien nous nous nous engageons sur la voie d’une remise en cause radicale du capitalisme financier (que vous appelez d’ailleurs de vos voeux) avec toues les conséquences induites, sociales, humaines, économiques qui vont nécessairement de pair. Pour ma part la thèse selon laquelle il y a une alliance objective entre entrepreneurs du CAC 40 et capitalisme financier n’est plus à démontrer. Et il m’apparait que si la mesure phare de Paul Jorion — l’interdiction des paris sur les fluctuations des prix — devait être appliquée le rapport de force s’établissant au sein du jeu économique tri partite se déplacerait du pôle constitué par les investisseurs et les entrepreneurs vers le pôle constitué par les entrepreneurs et les salariés. Paul s’en expliquera dans un de ses prochains ouvrages, comme il l’a déjà annoncé.
Bref, ce que je veux dire c’est que les enjeux ne seront plus du tout les mêmes une fois que l’humanité aura fait le deuil de l’ancien système. On peut discuter des mérites de chacun dans l’économie mais il encore faut-il déterminer en vue de quelle finalité, dans quel système. Bien entendu, je souscris entièrement à votre dernière phrase qui me semble une bonne base de discussion ; si tous les profs actuels ou anciens d’HEC convenaient de cette même nécessité ce serait une preuve que les idées proposées et débattues ici font leur chemin 😉
Autre papier-balais, celui de Paul Krugman, qui a consacré sa dernière chronique du 27 décembre du New York Times, « The Big Zero » (le zéro pointé) aux années 2000. Parlant d’une décennie « où nous ne se sommes parvenus à rien et où nous n’avons rien appris. » (en Anglais).
http://www.nytimes.com/2009/12/28/opinion/28krugman.html?_r=1
Revenant plus en arrière, dans les années 90, Simon Johnson évoque pour sa part, toujours dans le New York Times, du 31 décembre, « des leçons apprises mais non appliquées ».
http://economix.blogs.nytimes.com/2009/12/31/by-simon-johnson-lessons-lea/
Martin Wolf, dans le Financial Times, titrait sa chronique « Comment les années zéro (les noughties) ont été une charnière de l’histoire ».
http://www.ft.com/cms/s/0/1161315a-effa-11de-833d-00144feab49a.html?ftcamp=rss
Intéressant, le rapprochement Stiglitz / Krugman : deux prix Nobel américains d’économie, crachant tous deux de dégoût sur le désastre financier de leur pays, et l’absence de volonté d’y remédier.
@François Leclerc
Contrairement à ce qu’écrit Krugman, je pense que nous avons – du moins ceux qui le veulent et sont suffisamment ouverts – beaucoup appris.
Nous avons en particulier appris que l’argent-monnaie était d’une importance cruciale, et que les classiques et les néo-classiques se trompaient en lui faisant jouer un rôle secondaire, un simple « voile monétaire » n’ayant une influence que sur les prix.
Nous avons appris que la régulation (ou l’absence de régulation) monétaire était LE problème crucial, et que tant que ce problème ne serait pas abordé de front – indépendamment de l’avidité obscène des « capitalistes » « toujours plus » – il n’y avait pas grand chose à espérer d’autres mesures, aussi importantes soient-eles.
Cordialement,
Bruno Lemaire.
A propos de prix Nobel, et quoiqu’ayant le plus grand respect pour Krugman (pour Stiglitz, c’est autre chose), je ne peux que conseiller la lecture de M. Allais. C’est pas mal non plus.
@Francois Leclerc et @Paul
Sur le sur le désastre financier de leur pays cité par Krugman sur lequel revient Paul.
On ne peut qu’être d’accord sur ce point.
Je ne sais pas, en revanche, si les USA n’ont pas vraiment eu l’envie d’y remédier.
Le problème c’est que, vu la façon dont la régulation monétaire est faite dans ce pays, comme dans la plupart des autres, vu aussi le fait qu’il s’agit de ne pas toucher à Wall Street – assimilé, à tort – au symbole de la libre entreprise (alors que c’est bien plus le refuge de la haute finance et de la spéculation la plus avide), les USA ne pouvaient rien faire.
Le slogan « Yes we can » est un très bon slogan, bien sûr. Mais pour pouvoir, il faut vouloir changer complètement de paradigme, et remettre l’économie réelle, et les sphères productives et consommatrices, sur le devant de la scène, au lieu de l’inféoder à la sphère banco-financière.
Lorsque Marx décrétait: le petit capitaliste doit grossir ou mourir, cela reste vrai, encore plus vrai, de nos jours. C’est donc à l’homme aux écus, au spéculateur, aux « revenus non gagnés » qu’il faut s’en prendre en priorité. Tout le reste suivra, « hopefully ».
Cordialement, Bruno.
Bonne année à tous!
Paul Jorion me fait souvent penser à Terry Pratchett, suis je le seul?
Il a aussi co écris 2 livres sur la science du disque monde qui pourrais aussi s’appeler « Comment la vérité et la réalité ont été inventées » (enfin je pense, je n’ai pas lu celui de Paul)
http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Science_du_Disque-monde
Je viens d’aller voir sur Wikipedia qui il est. Honnêtement, je ne vois rien que nous ayions en commun : je n’écris pas de science-fiction, je n’ai pas été anobli par la reine d’Angleterre, je ne fais pas de donations d’un million de dollars, etc. Pouvez-vous en dire plus ?
Si je comprends bien les bilans des banques sont mensongers puisque des actifs « pourris » y figurent encore avec une valeur irréelle. Les bénéfices de ces établissements sont donc fictifs. Et c’est sur cette base qu’on verse des bonus bien réels aux traders et dirigeants ! Quelle impudence, quel scandale !
Les traders prétendront bien que les pertes des années passées, provenant des autres métiers de la banque ne les concernent pas, et qu’ils ont eu, eux, de beaux résultats cette année. On peut cependant penser qu’ils n’y sont pour rien : quand l’argent coule à flot des banques centrales et qu’on le dirige vers les marchés (au lieu de le prêter) on est sur que ces marchés vous feront gagner de l’argent.
Les banquiers me font penser à l’aristocratie de 1788 qui détenait des droits apparement naturels sur les richesses de la Nation. Il a fallu une révolution pour qu’ils en abandonnent une bonne partie. Comment fait-on une révolution contre les banquiers ?
Les deux paragraphes finaux de mon article, « La sortie du capitalisme », dans Le Débat No 157 (pages 17 – 30) :
Bonsoir,
Je voudrais juste faire remarquer (pour mon humble défense) que je ne suis (heureusement) pas le seul à dénoncer en ces lieux les odieux privilégiés qui nous volent comme au coin du bois, et ce même sans citer de noms.
Et ceux qui dénoncent (avec juste raison) les prédateurs déchaînés du moment que sont les financiers cupides, ne sont (heureusement) pas toujours considérés ici comme sottement complotistes, tournant en rond indéfiniment autour de leurs scandales chéris… 😉
Ça me rassure bien. Merci beaucoup.
—-
Bonne année à tous et je souhaite que 2010 voit enfin grandir, dans la tête des milliards d’humains ordinaires, la belle et forte idée d’imposer chez eux la désignation d’une ASSEMBLÉE CONSTITUANTE TIRÉE AU SORT, seule procédure logique pour s’affranchir un jour de la malhonnêteté traditionnelle en matière d’institution du contrôles des pouvoirs.
Étienne.
_____________
Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère, et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil ?
Évangile de Luc, 6, 41.
_____________
Ah bon, le hasard ferait mieux que la divine providence mon cher Etienne ? C’est vous qui avez commencé en citant les pitreries de Luc !
Arf, drôle d’idée de s’en remettre ainsi à la stochastique pour les affaires humaines. Savez-vous qu’un nombre conséquent de branches évolutives n’ont pas perduré à ce petit jeu ?
je prends date: bonne année 2010!
La Chine basculera en récession cette année, tout simplement parce que la hausse de sa production industrielle de près de 20% en 2009 ne trouvera pas de débouchés.
Sans doute, c’est cette récession qui précipitera le dollar etc….
L’augmentation de 20% de la production industrielle chinoise ne trouvera pas de débouchés! Meme pas dans son marché intérieur ou dans des démonstrations navales? Vous y allez fort Mr Finckh, vous etes confondant .Va pour une bulle financière ou immobilière mais pas pour une bulle industrielle. Etant contrariant,je prends date sur une reprise du dollar en 2010 et une reprise de la récession du début des ides de mars à la miaou.
Superbe papier. Tout y est. Pour mesurer la politique des banques fuyant le crédit à l’économie pour spéculer
http://criseusa.blog.lemonde.fr/2009/09/21/comment-ont-ete-utilisees-les-aides-financiere-par-les-banques-americaines/
« Wall Street embrassait Obama et c’en était fait de lui. »
La formule est forte !
Bonne année cher Monsieur !