Le pétrin dans lequel se trouve l’Europe (âmes sensibles, s’abstenir).
La commission du Congrès américain sur le rôle de la Federal Reserve de New York dans le sauvetage d’AIG.
Comment votre manuscrit peut-il, simultanément, mesurer l’efficacité des données (I = C/D), garantir la transparence des programmes, reconnaître les limites…
261 réponses à “Le temps qu’il fait, le 29 janvier 2010”
Qu’apprenons nous de l’Histoire, de l’histoire du capitalisme économique qui a viré à nouveau au capitalisme financier aux détriments des peuples ?
Les banquiers ou usuriers ont toujours eu pour vocation de faire de l’argent dans le cadre de leur constitution respective ou de leurs règles. Ne demandons pas à un banquier de faire de la philosophie, de la moralisation ou toutes autres disciplines.
Les gouvernements et les parlementaires ont pour vocation de représenter leurs peuples et à les faire bien vivre dans le cadre de leur constitution.
Les constitutions sont flexibles par voie parlementaire, référendaire ou autres selon les régimes.
La moralisation de la finance décriée sur les toits par les gouvernements n’a vu aucun changement d’aucunes constitutions sur notre planète. Rien! Nichts!
Les peuples occidentaux, et pour parler de nous, les quinze, nous nous sentons floués par le système. En particulier depuis 15 ans et l’expansion européenne ultra-libérale profitant aux Britaniques et U.S.A.
Ce n’est pas la première fois dans notre Histoire que les peuples sont mis à rude épreuve – le phénomène est cyclique entre deux périodes sombres- sauf que cette fois, c’est la capacité d’endettement du système qui a atteint ses limites, la bulle de crédit fonctionnera encore quelques jours, semaines ou mois!
Le système a atteint le sommet de sa fonction positive par manque de « carburant ».
Si le niveau d’instruction des peuples occidentaux est élevé-compréhension relative de la situation-
Son courage reste néanmoins constant face à la peur-action-
S’ajoute aujourd’hui trois problèmes majeurs qui se sont amorcés dans les années soixante-dix:
-La surpopulation de la planète au regard des ressources naturelles disponibles
-La fin de l’énergie fossile pas chère, moteur et accélérateur de notre système de développement depuis 150 ans
-Toutes les formes de pollution liées à notre développement qui menacent la biologie du sapiens-sapiens
Depuis ces années nous avons appuyé sur l’accélérateur de notre voiture vers ce mur en trois points.
Alors que faire ? Qu’est ce que nos gouvernements peuvent-ils bien faire aujourd’hui ?
-Consommer moins d’énergie fossile ? Oui certainement, mais n’est ce pas une idée de pays riches ? Allez expliquer aux 2,7 milliards d’âmes qui composent la Chindia de renoncer au développement ! Sans oublier l’Amérique du sud et l’Afrique !
-Réduire la population mondiale par neuf pour que la fonction positive du crédit puisse à nouveau fonctionner par des ressources naturelles suffisantes et peu chères ?
-Prendre le risque de conflits majeurs ? Les différents positionnements militaires dont le dernier est Haiti et le prochain l’Iran-pour la partie occidentale- ne présagent rien de bon et ne fait que renforcer la politique guerrière menée depuis plusieurs années sur la ressource fossile pétrole. Ces positionnements sont toujours justifiés par des événements qui ont pour but de manipuler et de faire adhérer le plus grand nombre-opinion- qui définit la vérité du moment.
-Etre fier d’être Européen, passer au protectionnisme-à quinze s’il le faut- taxer le carbone et pas le travail et adopter une constitution qui prend en compte la dimension finance ?
Article inquiétant : http://dechiffrages.blog.lemonde.fr/2010/01/28/emplois-detruits-chomeurs-volatilises/#xtor=RSS-32280322
Si la situation économique continue de se dégrader, si « Pôle Emploi » persiste dans sa politique de radiation des chômeurs, et si Sarko et ses sbires persistent à faire mentir les chiffres, ça finira très mal. On va se réveiller un beau matin avec des milices d’extrême-droite dans la rue.
C’est très grave qu’on puisse manipuler à ce point les chiffres. Ici se passe quelque chose qui me dépasse, dans quel but ce jeu sordide du passage à la trappe? Derrière leurs chiffres tronqués il y a des personnes pour qui ça va mal.
Il faut aussi savoir que le Pôle Emploi invite les chômeurs à devenir auto-entrepreneurs car il n’y a rien à perdre – si aucun CA = aucune charge. Or dès que vous devenez auto-entrepreneur, vous n’êtes plus considérés comme chômeur. Il permet donc aussi de dégonfler un peu les chiffres du chômage. Il a été annoncé cette semaine que « le chiffre d’affaires moyen déclaré par les personnes qui se sont inscrites au régime de l’auto-entrepreneur est d’ »un peu moins de 4.000 euros par trimestre » » Pas de quoi pavoiser donc ; ça ne fait environ qu’1,5 RMI. Mais la vraie question est : Combien des 300000 auto-entrepreneurs ont réalisé un CA en 2009?
Auto-entrepreneur : 4000€ de CA / trim.
Une nouvelle qui est passée inapercue 27.01: Eurostat, l’agence statistique de l’Union Européenne, faisant suite
aux ‘manipulations’ en Grèce, va etre autorisée à conduire des »audits’ des statistiques gouvernementales
des pays de l’UE, une initiative préparée par la Commission Européenne
@ Verywell
Surtout si l’on parle de CA (des ventes) duquel il faut retirer tous les achats, charges…
Ils ont pondu la même chose en Belgique, la SPRLS. Capital min. de départ: 1€ (UN!), mais après 5 ans 18 550 € de capital à libérer. Pas mal dans le genre sucidaire.
@ Fujisan
Tout à fait. D’où le 1,5 RMI/mois.
Si les méthodes de manipulations des opinions sont devenues si grossière aux USA, c’est en partie dû au faible niveau d’instruction générale des américains.
Il serait imprudent politiquement de croire que le peuple européen se manipule comme le peuple américain !
D’une manière ou d’une autre, et sur quelque continent que ce soit,
ne se laisse manipuler que qui, que qui, que qui … y consent.
Pour PAD:
Ne prenez pas les américians pour des naïfs … car les pigeons de l’affaire seront les européens
Merci
En contrepoint de l analyse de Patrick Artus / NATEXIS,je donne ici le lien vers ‘Perspectives de l’Economie mondiale
Mise à jour 26.01.2010″,’Une reprise à plusieurs vitesses, tirée par les politiques économiques’ disponible en version
francaise:
http://www.imf.org/external/french/pubs/ft/weo/2010/update/01/pdf/0110f.pdf
La zone Euro avec prévision de croissance 2010 +1%, 2011 +1,6 est bien le parent pauvre de la reprise..
http://www.openmoney.org/top/omanifesto.html
la solution?
La guerre avec la Chine, maintenant, tant que l’Occident et surtout les EU disposent de la suprématie militaire et dès lors de bonnes chances de l’emporter, va devenir vite la seule solution de survie du système, qui est devenu fou.
Les dés roulent déjà. Que chacun se prépare et prenne soin des siens et de lui même. La politique et l’écononmie n’importent plus maintenant.
Peut être de la France, l’Etat, un peu plus fort qu’ailleurs, préservera un peu.
La décision des USA d’armer encore plus Taïwan est un signe inquiétant, + Hillary Clinton qui vient en Europe pour parler du renforcement de l’OTAN vis à vis de qui? l’Iran ? la Chine? La politique étrangère des USA ,dictée par leur industrie militaire, une des seules qu’il leur reste, est dangereuse pour la Planète.
La mondialisation, c’est comme la titrisation ça ne diminue pas le risque, ça l’augmente, le jour où sera sifflé la fin de la cavalerie, personne ne sera épargné. Bienvenue en Argentine…
La mondialisation c’est quelque chose de plus vaste et diffus, une ouverture mentale des cultures de la planète les uns aux autres, et ce concept devrait garder une connotation positive.
La globalisation c’est le mécanisme économique et financier aveugle dont nous ressentons désormais les effets négatifs.
Extraits « Après la démocratie » d’Emmanuel TODD
http://www.dailymotion.com/video/x8tw36_memoire-dun-saccage18_webcam
Je crois comprendre que M. Paul Jorion est sidéré par la décision de la Cour Suprême des USA de rejouer le suffrage censitaire à travers sa décision récente de « libérer » le financement des « candidats » aux élections par les entreprises privées.
Là tout est clair, même pas l’illusion possible d’une pseudo-démocratie avec un contre-pouvoir à la domination politique des banquiers.
Conjuguez cela aux bulles des dettes publiques plus la mauvaise santé manifeste des institutions financières aux bilans maquillés et dépourvues de fonds propres, il n’y avait pas de raison d’être optimiste en 1930 en Europe, pas davantage maintenant.
Le 22/12/2008 FRANCE CULTURE inaugura « D’AUTRES REGARDS SUR LA CRISE » avec comme première invitée Marie-Josée Mondzain. Femme remarquable, brillante, lucide. Entretiens réalisés par Antoine Mercier. Cette série d’interviews c’est achevée durant l’été 2009. Les intellectuels invités, je ne peux tous les citer ici, nous donnent un véritable ensemble de la pensée contemporaine, remontant du cœur de leur métier (philosophie, histoire, psychanalyse, sociologie, culture…) avec réflexions sur la crise. Il est sortie un livre qui porte le même titre.
Une nouvelle série intitulée « D’AUTRES REGARDS SUR L’ACTUALITÉ », toute aussi remarquable, à commencée en septembre 2009.
J’ai beaucoup aimé et j’ai beaucoup appris. Allez-y ça vaut le coup, parfois vous avez droit à des coups de gueule.
Pour ceux qui ne connaisse pas encore, je dépose les liens :
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/dossiers/2008/regards-crise/
http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/dossiers/2009/regards-actualite/
et si l’on vous demandait de situer (par analogie) l’époque dans laquelle on vit aujourd’hui, à une des époques d’instabilité économique entre 1923 et 1940 ? même si la comparaison n’a pas lieu d’être, mais disons pour mesurer le degré de « gravité » de la crise…..
Personnellement je pense que nous serions en 1928.
Pour répondre à la remarque de Jeannimes, un peu tardivement : Il s’agit moins de « convaincre » les politiques que de les informer mieux car ils regardent ailleurs. Je proposais de nous adresser directement à Dame République par une voix inhabituelle : les préfets c’est-à-dire le président en fait. Mais par le chemin où on ne nous attend pas. Il s’agit de ne pas utiliser la voie parlementaire ni organiser une manifestation alors que les syndicats et associations sont incapables, pour de bonnes raisons, de se réveiller d’une manière coordonnée. Endormissement, « sidération », incompétences… Car, effectivement, quelque chose s’écroule sous nos pas. Exercer un droit « d’état d’urgence ». Après tout pourquoi n’y aurait-il que les fonctionnaires qui pourraient user d’un droit d’alerte ? Il faut écrire une une synthèse claire. Ici, il y a des gens qui pourraient le faire.
L’intérêt d’apprendre que ce blog est en bonne position, est que nous sommes nombreux. Nous sommes donc potentiellement en capacité d’agir d’une manière responsable (ni révoltée, ni subissante). Si les citoyens voient qu’il existe, enfin, une action pas trop bête, il ne sera pas enclin au n’importe quoi. Il sera moins encouragé à continuer à dormir. Nous pourrions donc signer un ensemble des directions à prendre et nous bouger les fesses, ça ne peut pas faire de mal. Symboliquement, le préfet, c’est la loi. Ce dernier, depuis deux ans maintenant, est devenu le véritable président de la république en région.
Dans la direction à prendre et sa déclinaison en actions concrètes sans oublier de faire un état des lieux vrai (ça changera de la soupe qu’on nous sert tous les jours), il est question par là de dire que nous ne sommes pas dupes et que nous avons analysé les choses. Dans vos actions jeannimes, vous oubliez je crois la nécessité absolue de nous doter d’une instance mondiale et d’être exigent au niveau européen. Si nous sommes dépassés c’est que nous voyons les choses au niveau national puis nous déclinons au niveau international. Je crois qu’il faudrait penser dans l’autre sens.
Dans les urgences : l’eau. Il est scandaleux que ce bien soit spolié par l’argent et les jeux de pouvoirs. Le contrôle doit être intransigeant. Il ne doit pas être possible de construire des barrages et de priver son pays voisin de son eau… C’est intolérable.
La morale était le dernier lien qui tenait une société (après l’oubli de la sagesse, la vertu, la connaissance,…). Elle n’est plus, rien ne peut tenir debout désormais.
à Simorg
Je ne sais pas si les préfets sont les bonnes personnes à informer… ils sont plus là pour faire appliquer des lois prises par les représentants d’une minorité en faveur de ses intérêts que dans ceux de la majorité ou encore moins de l’humanité ! Le sens de l’universel a été sérieusement perdu depuis quelques décennies. (Universel au sens kantien évidemment ! Pouvoir dire que ce que l’on fait est universalisable, sans dommage pour quiconque… on est loin du compte actuellement, n’est-ce pas !)
Mais je crois savoir qu’il faut réveiller le peuple et tous ceux qui en son sein sont porteurs de sagesse et de connaissances universelles… et sont prêts à les mettre en œuvre localement-partout. J’aime bien ce concept qui nous évite de tomber trop vite dans le « gouvernement mondial » qui est un appel à du « supérieur » dont je me méfie (qui ne veut nous fourguer de la gouvernance mondiale ces temps-ci ?) et au contraire qui maintient l’interrogation sur ce que nous allons faire chacun et comment nous allons nous mettre en réseau mutuel avec les autres… Je n’ai pas « oublié » le niveau international, mais je crois qu’un changement politique ne peut se produire que s’il est porté partout par le peuple.
Aujourd’hui nous avons le traité de Lisbonne et ses absurdités criminelles, nous le découvrirons progressivement dans les mois à venir, au-dessus des Etats et dès que nous voudrons organiser de vrais services publics, de véritables réorientations industrielles vers les productions utiles au grand nombre et respectueuses de la planète… nous aurons contre nous la Commission et la Cour de justice européennes ! Voilà ce qu’il va falloir dénoncer et contre-battre.
Quant à votre proposition sur l’eau, oui cela est urgent et je suis pour qu’en France, toutes les régions créent une régie publique régionale pour l’eau et qu’elles aident les communes et agglomérations à mettre en place des régies publiques d’adduction d’eau et de gestion de l’eau plus largement, afin de se débarrasser de ces multinationales qui pompent le fric avec l’eau. Voilà un bon questionnement à faire auprès de ceux qui se présentent pour « nous rendre la vie meilleure » à partir du 15 mars ! Mais, n’oubliez pas que cela ne peut se faire que contre le traité de Lisbonne et que les préfets seront contre et citeront devant le tribunal administratif les régions qui le tenteront… au nom de la concurrence libre et non faussée. Car le service public au service du public est condamnable par la lettre du traité de Lisbonne !
Message pour les optimistes qui ne savent plus comment justifier leur optimisme:
« Des banques centrales désorientées, des investisseurs perdus, il n’y a guère que les philosophes qui soient à l’aise avec les bulles. Ecoutons ce que dit Roger-Pol Droit, dans Les Echos. « S’il est indispensable de les endiguer, il est parfaitement illusoire d’espérer un monde sans bulles. Pour s’en convaincre, une devinette suffit. Qu’est-ce donc qui est destiné à mal finir, mais ne cesse de recommencer ? Les bulles ? Mais non. La vie, tout simplement. » Si cette voix pleine de sagesse pouvait aussi nous dire s’il est raisonnable d’acheter des pièces d’or ou des actions chinoises, ce serait parfait. »
Delhommais
Le temps qu’il fait aujourd’hui. Merveilleux. Une fine couche blanche de givre recouvre la campagne et avec ça un ciel bleu et limpide. Je reviens sur ce blog, je lis et j’ai mal.
Soleil vert
Soleil Vert
envoyé par montag01
Et pourtant, je préfère rester optimiste, penser qu’on en viendra à une prise de conscience avant qu’il ne soit trop tard.
@ à tous, pour cerner l’état de notre société.
http://www.inegalites.fr/
@JeanNimes (30 janvier 2010 à 22:33 )
« nous avons des moyens intellectuels, scientifiques, de communication pour débattre et gérer collectivement, tels que s’ils étaient correctement utilisés, développés, orientés, nous pourrions aboutir à des changements radicaux »
Ce n’est que dans cette perspective que nous pourrons nous émanciper.
Nous avons peur d’être ce que nous sommes.
Combat entre nature sombre et culture précaire.
Proclamer de siècles en siècles que « le juste n’est rien d’autre que l’intérêt du plus fort » est une manière subtile de cadenasser toute tentative d’évolution.
Nous sommes cependant dans une position historique extraordinaire: celle résultant des bouleversement épistémologiques qui advinrent au début du XXème siècle.
Notre conscience en fut bouleversée, nos raisonnements virent leur puissance décuplée.
Jamais nous n’aurons été « si riches en moyens et simultanément si pauvres en buts ».
Mais nous n’avons pas à avoir peur de l’avenir, nous pouvons compter sur nous: pour penser, créer, produire utilement et généreusement.
Avides de connaissances et d’expériences nous sommes capables d’établir une société frugale et solidaire. Ce programme accessible donnera alors des perspectives solides d’avenir à nos enfants.
L’état de notre société peut être considéré aujourd’hui comme métastable: c’est à dire dans un état physiquement « irréalisable » ou « impossible » et ne devant son existence qu’à une communication incomplète, mais en cours d’unification.
Je tiens comme postulat qu’il est impossible de savoir quand et pour quelles raisons le processus d’unification arrivera à son terme. La seule certitude qui devrait nous animer est que nous pourrons et saurons faire face le moment venu.
Bonsoir,
Cela m’a déprimé mais je préfère savoir !
Postulats :
– l’acteur n’est jamais totalement démuni face au système (merci Crozier et Friedberg)
– l’homme n’est ni totalement bon ni totalement mauvais mais toujours influençable
– l’Etat est omnipotent car nous avons pris l’habitude de lui déléguer nos responsabilités
– l’apprentissage collectif de nouvelles règles du jeu induit le changement
Piste d’action individuel :
– retirer mon argent des banques classiques pour le placer dans des banques solidaires type la Nef (société coopérative de finance solidaire) ?
Qu’en pensez vous ?
@ Paul Jorion. Vous êtes visiblement plus économiste que philosophe: vous nous dites qu’il faut absolument faire quelque chose…….Etes vous ce grand régulateur universel dont tout le monde parle mais que personne ne voit ?
Planter des arbres et « recourir aux forêts » voilà ce qu’il faut faire.
Des crises comme celle là, il y en a toujours eu et il y en aura toujours. Et elles ont toutes le même point commun : l’homme.
D’accord, Lulu Berlu, pour planter des arbres, qui symbolisent aussi l’humain,
et pour « recourir aux forêts », qui sont aussi le symbole de leur inconscient.
Consumer Spending in U.S. Rises for Third Straight Month in Recovery Sign
Méthode Coué.
USA – hausse plus faible que prévu des dépenses des ménages en décembre
Et « en novembre, la consommation avait progressé de 0,7% (chiffre révisé de 0,5%). »
Ceci.
Aurez vous l’obligeance de m’expliquer où se trouve la faute réelle dans un système qui, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, et en particulier en France, n’a jamais cessé de créer des lois, des règlements, des interdictions, des obligations, etc, etc…
Votre intervention contre les tenants du libéralisme est complétement surréaliste ! On ne cesse de créer des freins à l’activité humaine, et vous semblez croire que l’on n’en met pas assez, et pas assez vite….
Complétement délirant, votre point de vue, et en vérité, le globe crève, certes oui, mais des dires et des actions de gens comme vous…
Oui mais on ne freine pas ceux qu’il faudrait freiner : on freine les autres.
Propos nuancé. Chapeau bas!
Vous pourriez tout aussi bien vous demander si la pléthore de méchants freins, lois, blablabla… sont adaptés – au lieu de véhiculer cet a priori idéologique bas-de-plafond.
Quand on sait en outre que M. Jorion propose des mesures en amont qui éviteraient nombre de pansements législatifs en aval…
En tout cas, j’ai bien ri.