LA QUINZAINE LITTÉRAIRE, « Misère de la pensée économique : quelle synthèse nouvelle ? », 1 – 15 décembre

Un compte-rendu par Christian Coméliau. Un court extrait.

Ce qui précède et ce qui suit, dans le magazine.

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6 réponses à “LA QUINZAINE LITTÉRAIRE, « Misère de la pensée économique : quelle synthèse nouvelle ? », 1 – 15 décembre”

  1. Avatar de Tolosolainen
    Tolosolainen

    à noter : à la FNAC Forum des Halles,la plus grande (pour les livres) à Paris, votre livre est parmi les meilleures ventes en livres « économie »… et oui ça fait plaisir…
    Par ailleurs on trouve facilement la Survie de l’espèce dans les grandes librairies en région parisienne.

  2. Avatar de Pierrot
    Pierrot

    Bonjour,

    il me semble que la faillite de LTCM remonte a 1998 et la remise du « Prix Nobel d’economie » a Scholes et Merton a eu lieu en 1997.

    Je pense que l’auteur du compte-rendu confond plusieurs faillites…

    Bien a vous,

    P.

    1. Avatar de Paul Jorion

      Oui : erreurs de dates en effet.

  3. Avatar de Moi
    Moi

    Tiens, Ronald Coase cause un peu comme Jorion. Il reste quand même à côté de la plaque et ne se rend pas du tout compte de ce que cela implique que de réintroduire l’homme dans l’affaire (c’est-à-dire la politique), mais bon on va pas trop demander à un pseudo-prix Nobel d’économie.

    http://hbr.org/2012/12/saving-economics-from-the-economists/ar/1

  4. Avatar de Biohazard
    Biohazard

    Concernant le prix nobel d’économie, qui n’a d’ailleurs pas été reconnu comme une science dès le début de l’existence du prix nobel d’économie.

    Il y a un prix nobel d’économie qui a été décerner pour la diminution (importante) de la durée et les des allocations chômage comme facteur de développement économique, c’est dire si la suppression (même sous forme d’assurance) de revenus pour les citoyens au chômage et qui ont travaillé, sont récompensés.

    C’est la tendance économique de faire plus pour la finance, car cet argent que ne toucheront pas les allocataires du chômage ira quelquepart, et au pire on conclut par une volonté de réinvestir l’argent dans l’entreprise ou d’épargner pour sa trésorerie, toute cette dynamique capitaliste qui concentre les richesses, et qui même se retrouve dans les récompenses économiques.

    Une poursuite des inégalités sous un discours de victimisation de certains intérêts, sans se soucier de la conséquence de ses diminutions sur les peuples et sur la nouvelle direction de ses sommes d’argents qui vont aller vers d’autres comptes bancaires.

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