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IMAGINE, demain le monde : Pourquoi travaillons-nous ? Pour payer les intérêts !, N° 106 novembre – décembre 2014 – Blog de Paul Jorion

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82 réponses à “IMAGINE, demain le monde : Pourquoi travaillons-nous ? Pour payer les intérêts !, N° 106 novembre – décembre 2014

  1. Avatar de juannessy
    juannessy

    L’opposition Jorion /Piketty caricaturée en « défaut sur la dette /fiscalité accrue » , m’apparait par ce billet plus éclairante .

    L’un dit « défaut sur la dette » ou esclavage .

    L’autre dit « fiscalité accrue » ou esclavage ( inégalités sans cesse accrues ) .Au passage il affirme que c’est plus violent que le défaut sur la dette qui laisse les hyper capitalistes de marbre .

    La solution doit être ( sans doute mondialement ou majoritairement ) :

    défaut sur la dette ,Et fiscalité accrue , ET pendaison des 100 plus gros patrimoines mondiaux et de leurs ayant droits .

    ça doit s’appeler une Révolution .

    Qu’en pense Attali ?

    1. Avatar de Dominique Gagnot
      Dominique Gagnot

      @juannessy 7 novembre 2014 à 15:19

      Qu’en pense Attali ?

      Il dira que si l’on fait défaut sur la dette, on ne prêtera plus à la France, ce qui paralysera le pays.
      Puis sa pensée se paralyse avant le pays, car il n’a pas appris à aller plus loin.

      Et ceux qui pensent différemment de lui sont des fous, car lui il sait.

  2. Avatar de Fontaine Antoine
    Fontaine Antoine

    je n’ai pas pris le temps de lire tous les commentaires, je réagi juste à une partie du texte en lui même,
    il faut arrêter d’attribuer le terme « richesse » aux valeurs que l’on crée.
    Par le travail et la valeur que l’on crée on accapare une richesse, et non ne la crée. Ainsi, les richesses correspondant aux intérêts et qui donc n’existent pas au moment de l’emprunt ne peuvent pas l’être par de nouvelles valeurs mais par de nouveaux crédit.
    Ainsi la décroissance n’est pas opposable aux remboursements des crédits, il faut juste créé la richesse (argent) sans créé la contrepartie dette, pour faire augmenter la valeur du travail présent et futur au regard des intérêts (en somme la valeur du travail passé de certains). Ce qui revient à monétiser les dettes et faire de l’inflation (des salaires et des prix) (et cela sans augmenter la DETTE des états, juste en faisant perdre de la valeur à l’argent) . Ainsi on créera largement la richesse nécessaires (et non valeur, il faut arrêter d’amalgamer les deux, il n’y a aucun lien justifié à faire entre richesse et valeur) au remboursement des dettes excessives sans créer plus de valeurs qualitativement, mais en y faisant correspondre une valeur argent plus grande.. Et d’ailleurs cela nous amène aussi à nous pencher sur le fait que le système non inflationniste et de création de richesse par investissement et donc prêt des riches à l’ensemble des autres pour créer de nouvelles dettes et valeurs, contient implicitement le fait que la valeur, l’importance que l’on donne à leur travail passé est égale voir supérieure à la valeur de ce que l’on a à faire, et de ce dans quoi on doit investir. Et c’est là où c’est complètement absurde, d’imaginer que l’argent accumulé par certains en vendant des produits qui nuisent à l’environnement vaut autant que l’argent dont on a maintenant besoin pour employer les gens pour le préserver (réparer? ) . D’être tributaires de ces « puissants » pour pouvoir faire travailler les gens dans des domaines incontestablement nécessaires et sous dotés est une absurdité infinie.

    ps : afin de ne pas avoir d’usure par la dette, il faudrait créer l’argent des intérets au même moment que le capital créé afin que la dette ne s’emballe pas. L’argent des intérêts serait lui aussi injecté dans la « machine » économie, en créditant les états qui le dépenseraient (et donc dans l’idéal dans l’intérêt de tous, et l’emprunteur par son travail, le récupère et le rembourse). Cela ne résoudrait pas le problème d’accumulation par certains, pour cela il faudrait que l’argent soit prété par les états et non par des particuliers… l’un sans l’autre ne fonctionnent pas, ça serait déjà un pas mais il faut ces deux mécanismes pour avoir un investissement plus vertueux qui n’induit pas par lui même une nécessité de croissance sans laquelle la machine fini par s’enrayer..

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  1. Mais, bonne nouvelle dans ce monde de brutes : Fitch et Moody’s laissent la note de la France inchangée… 🤑 https://www.tdg.ch/dette-fitch-et-moodys-laissent-inchangees-la-note-souveraine-de-la-france-766745382534

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