J’ai trouvé cet échange intéressant car situé sur une ligne de crête délicate, comment interpréter un phénomène impromptu dans une…
Email a copy of 'Léo Ferré (1916–1993)' to a friend
*Le seul Blog optimiste du monde occidental*
J’ai trouvé cet échange intéressant car situé sur une ligne de crête délicate, comment interpréter un phénomène impromptu dans une…
Souvent je songe que Paul Verlaine était un Ange du bien et du mal et que son génie relève du…
Finalement votre conversation donne à penser que tout pourrait se passer comme si les êtres humains étaient tous en chemin,…
Je vous suggère, sinon de lire cet ouvrage « Le retour du monde magique » de Fanny Charasse, sociologue, de regarder ses…
@ilicitano Cela veut dire que toute personne participant à un savoir significatif d’une entreprise ne pourra plus être salarié, mais…
Pendant que je regarde de nouveau la seconde image qui illustre ce billet, soudain, je me remémore une image d’une…
Sur la première partie (concernant l’intuition / guidance), ne serait-ce pas un autre effet des neurones miroirs ? Un degré…
Et encore vous êtes très en deçà de la Vérité ! Poutine est le dernier humaniste avant l’avènement des Ténèbres…
Si y’a Nikki pas besoin de guerre civile! Elle est bien Nikki. Bien à droite dans ses bottes.
Il me semble que le seul cas qui aurait pu mettre fin à sa candidature serait qu’il soit condamné pour…
Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
7 réponses à “Léo Ferré (1916–1993)”
[…] Post Scriptum : je redécouvre petit à petit mes références à des chansons et je complète. Derniers en date : Under the Boardwalk des Drifters dans Toute une époque ! Bravo pour le clown dans Edith Piaf (1915 – 1963), Comme à Ostende dans Léo Ferré (1916–1993). […]
Superbe texte, superbes extraits vidéos. Juste une coquille, sans doute due à l’émotion : « trois pelés et deux tondus », ça n’a jamais fait « en tout et pour tout, sept ».
Ben si, si on compte Léo et son chauffeur 🙂
Merci Paul, vous avez du vivre là un moment d´exception.
Je suis comme le secteur du crédit hypothécaire : l’arithmétique élémentaire me perdra !
L’internet : Rabelais, au XVIe siècle, utilisait « trois teigneux et un pelé »
Sûr!
Léo, le tendre et le pathétique :
http://www.youtube.com/watch?v=Cq9MIUaWzDQ
Pas de limousine pour Ferré. Des Citroën, c’est tout. Pour faire de la route entre chaque gala.