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3 réponses à “Le mirage de la part de marché”
Une mise en perspective intéressante, où comment le mirage de la part de marché et la fascination qu’il exerce sur les dirigeants les amènent peu à peu à se détourner de la seule question qui compte : une part de QUEL marché?!?
Je reste un peu dubitatif sur le caractère « raisonnable » du raisonnement de Mozilo et Perry : ils ont vu (et certainement apprécié!) les résultats remarquables des dernières années grâce à l’existence d’une bulle immobilière comme on en a rarement vue. Ils ont aussi vu se développer toutes les pratiques déraisonnables liées à l’octroi de crédits à des ménages pauvres. Il était donc logique qu’ils se disent qu’une bulle et une régulation du crédit lacunaire laissant proliférer des outils surréalistes auraient des conséquences plus importantes que les crises immobilières précédentes qui n’ont guère été des moments de liesse dans les milieux du crédit. Le mythe du héros qui se tient debout dans la tempête et ramasse la mise quand tous les autres ont été vaincus, est-ce là la meilleure façon d’apprécier le risque économique?
Me vient à l’esprit ce passage des Argonautes : « Lorsqu’ils eurent, dit Pindare, levé l’ancre qu’ils suspendirent au-dessus de l’éperon du navire, le chef de tant de héros, debout sur la poupe, une coupe d’or dans la main, invoque Zeus qui brandit la foudre, puis les vents impétueux, les flots rapides, et il leur demande des nuits sereines et les routes de la mer, des jours heureux et la douce destinée du retour ».
Mozilo et Perry étaient debout sur la poupe, mais n’ont pas vu le Tsunami qui se développait sous leur nez!
A mon sens, les 2 qualités premières d’un dirigeant sont et seront toujours l’anticipation et l’appréciation du risque. Se rendre compte qu’il est impossible d’apprécier les risques et anticiper une bien peu probable élévation en phase de crise traduisent une mauvaise gestion.
Attention tout de même, être prudent n’est pas forcément synonyme de conservatisme 🙂
Paul, au début du 5ème paragraphe, une petite coquille (vous pouvez enlever cette partie de mon commentaire bien sûr) : Richard Syron, PDG de Freddy Mac.
Qui va rester ?
S’il ne reste plus rien, ce sera un désert, lieu propice aux mirages.
Connaissez-vous une suite à cette mésaventure ?
Les prix finiront par se stabiliser, une nouvelle génération fera son apparition ; certains établissements vont-ils renaître de leurs cendres ?
Paul écrit
Dans cette affaire, il me semble bien que les banques (celles qui survivront) et les GSE se retrouveront à la tête d’un patrimoine immobilier qui sera considérable, même si la valeur sur le marché de revente aura plongé.
Je pense, mais je puis me tromper, que nous avons ici un parfait exemple de transformation de « valeur symbolique » en « valeur réelle » , non?