Sur la première partie (concernant l’intuition / guidance), ne serait-ce pas un autre effet des neurones miroirs ? Un degré…
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Sur la première partie (concernant l’intuition / guidance), ne serait-ce pas un autre effet des neurones miroirs ? Un degré…
Et encore vous êtes très en deçà de la Vérité ! Poutine est le dernier humaniste avant l’avènement des Ténèbres…
Si y’a Nikki pas besoin de guerre civile! Elle est bien Nikki. Bien à droite dans ses bottes.
Il me semble que le seul cas qui aurait pu mettre fin à sa candidature serait qu’il soit condamné pour…
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Bonsoir GMM, v/com. est très vrai. Vous avez raison à propos d’ une majorité des population qui vivent avec peu…
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193 réponses à “Le temps qu’il fait, le 19 mars 2010”
Ne parlons pas toujours de la crise et de la dureté de la vie et du système marchand aux autres, prenons parfois le temps de souffler un peu, soit au bord de l’eau, de la mer ou de la montagne par exemple prendre le temps de se ressourcer un peu quoi, et cela même l’espace d’un instant rien que cinq minutes.
Je rêve ce matin de vivre un jour au bord de la mer et d’être sur un petit bateau mais peut-être
que j’y suis déjà, laissez moi encore mes rêves vous les bureaucrates et les marchands, pourquoi le temps qu’il fait, et le même rythme infernal de vie que l’on m’impose de plus en plus de suivre pour tous devrait-il être toujours le temps qui me permet même plus de passer du temps avec mes enfants ou mes proches, il y a déjà tant de monde qui se déchire au quotidien.
A la semaine prochaine peut-être à suivre …
March 22 (Bloomberg) — The bond market is saying that it’s safer to lend to Warren Buffett than Barack Obama
http://www.bloomberg.com/apps/news?pid=20601087&sid=aHjVRrVodt4g&pos=2#
L’ Apocalypse selon saint-Anselm
Incidemment, il m’est arrivé de tomber à nouveau sur ce « Crédit à mort » d’Anselm Jappe. Cette phrase sidérante laisse d’aucuns regardant :
« Tous les antagonistes prétendus d’antan, le prolétariat et le capital, le travail et l’argent accumulé risquent de disparaître ensemble, enlacés dans leur agonie : c’est la base commune de leurs conflits qui est en train de disparaître. »
Mais qui donc peut dire « leurs conflits » ? De quel point de vue non divin cela peut-il s’imaginer ? Cette simple question ne prenant pas même acte de l’orientation des spéculations historisantes dont les apparitions ou disparitions de « leurs conflits » seraient affublées. La société sans classes serait donc la fin de la société. Quel sens du devenir !
Ite misa est. Ainsi soit-elle !
[…] em Francês: http://www.pauljorion.com/blog/?p=9311 AKPC_IDS += "770,";Popularity: 53% [?] […]
Crédit à mort p. 5, Anselm Jappe
Ben non ! Marx n’a pas « prévu la possibilité qu’un jour la machine capitaliste s’arrête seule ». Je tiens même qu’il n’y a jamais pensé. Liebniz, lui, s’en serait obsédé.
Voici la source :
(Capital, Livre III, Troisième section, la loi de la baisse tendancielle du taux de profit, conclusions, trad. Rubel, Jacob, Vouste. éd. La Pléiade, Oeuvres Economie II, pp. 1046-1047 )
« Voilà l’origine des crises » ! Il n’est pas écrit « voilà le point d’arrêt de la machine » ! Jappe reprend ce vieux mythe de l’arrêt automatique du capitaliste qui serait en face de nous comme si nous n’étions pas en dedans de lui. Et ce mythe, qui a servi de talisman à la politique étrangère soviétique et de doxa aux PC, continue malgré la mort de ces institutions, et Jappe contribue à l’y maintenir dans les têtes. « Regardons ce monde tomber, n’y participons pas, donc ! » dit ce mythe avec ce regard complice de ceux qui savent de quoi l’avenir sera fait, ou du moins ne sera plus fait, en se gardant la nouvelle pour eux-mêmes dans le secret du Marx ésotérique qu’ils ont inventé. Cette contradiction interne n’est pas « une bombe à retardement » mais un missile lancé au coeur de l’idéologie pour percer les consciences et les renvoyer à leurs racines, à partir desquelles un autre mode de production, socialement désaliéné, est possible ; pas inéluctable.
Marx n’est pas un penseur finaliste, les marxistes, si, et Jappe l’est encore. Il n’est écrit nulle part ailleurs que dans les cieux de la spéculation historique, voire hystérique, que la dernière restructuration serait l’ultime.