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Compétitivité et coût du travail : le mauvais débat, par FOD – Blog de Paul Jorion

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194 réponses à “Compétitivité et coût du travail : le mauvais débat, par FOD”

  1. Avatar de vigneron
    vigneron

    Glencore, Zambie, Marc Rich, E.B. Williams, Irangate, Ivan Glasenberg, Simon Murray, Suisse, Chiluba,, Camdessus, cuivre, prix de transfert, Eva Joly, Gvt norvégien,Tony Blair, Xstrata, dioxyde de souffre, eau potable bleue, Banque Européenne d’Investissement, etc. Arte en ce moment.

  2. Avatar de Franco
    Franco

    Franchement je viens de lire votre document très bien illustré. Je ne suis partisan politique d’aucun parti et ne fais parti d’aucune organisation syndicale, mais Mélenchon est un homme brillant qui s’approprie les chiffres dans son sens et votre justification me désole vraiment.
    Comme lorsqu’il disait que les chefs d’entreprises touchaient 4000€/mois et que Hervé Lambel lui avait répondu preuve à l’appui que le salaire moyen était de 1800€/mois, que l’embauche de nouveaux salariés avait un effet direct sur sa rémunération.
    Vous oubliez, certainement pour appuyer votre démonstration, de rappeler qu’en France 97% du nombre d’entreprises sont des PME mais qu’elles emploient 48% des salariés français( source http://www.economie.gouv.fr/cedef/chiffres-cles-des-pme). Ces chiffres datent de 2009, ils sont à pondérer avec les 500000 créations d’entreprises/an dont la moitié sont des auto entrepreneurs qui ne feraient qu’augmenter le 97% et baisser le 48%.
    En vérité vous parlez essentiellement des 3% d’entreprises qui font des bénéfices et embauchent 52% des salariés français. Faut il conclure par « la baisse les cotisations sociales n’aura pas d’effet sur la santé financières de nos entreprises, puisqu’elles distribuent de plus en plus de dividendes ». Franchement c’est mal connaître nos entrepreneurs de PME. Rajouter à vos graphiques la répartition des dividendes distribués en séparant PME et grosses entreprises financières ou non. Faites la même chose pour les charges IS et cotisations sociales et vous verrez que votre démonstration ne tient pas…..

    1. Avatar de vigneron
      vigneron

      Franco, ahhh ces pauvres et chères Péhèmeuhs… Vous voulez parlez du gros d’la troupe aussi ? Les 1,5 millions d’entrepreneurs individuels ? Ça va bien pour eux…

      1. Avatar de Franco
        Franco

        Le sujet n’est pas de savoir si les 2,6 millions de PME vont bien ou non et honnêtement, il faudrait mieux quelles aillent bien. Je disais seulement qu’à confondre les PME et les 3% des grands groupes, on faisait un amalgame qui donne une image pitoyable de notre tissu d’entrepreneurs. Vous croyez vraiment que les dividendes versés aux actionnaires des PME et entrepreneurs individuels représentent 97% du schéma 2 et 2 bis ?

      2. Avatar de vigneron
        vigneron

        Allez vous plaindre au Crédit Agricole, pas à moi, voyez, ils sont très conscients des problèmes de leurs péhèmeuhs de clientes…
        12,5% de masse salariale/VA en plus pour les péhèmeuhs par rapport aux GE, 72,5% exactement en 2010. Forcément. Marché national quasi exclusivement et/ou prix contraints, ça aide pas non plus. Les impôts sur production par contre… 4,9% de la VA pour les petites er moyennes contre 14,3% pour les grosses, ça compense…

    2. Avatar de Fod

      @ Franco

      Ce travail de macroéconomie se base sur les chiffres de l’Insee qui ne font en effet aucune distinction entre grosses, moyennes, petites et micro entreprises. C’est un biais évident, mais il faut faire avec ce que nous avons. Quoi qu’il en soit, sans le dire explicitement, ce billet vise les entreprises qui distribuent des dividendes ; ne devraient donc se sentir concernées qu’elles seules, et je pense que personne sur ce blog n’a été dupe. Nous savons bien pour qui travaille le Medef. Toutefois, et à mon grand regret, j’aurais dû, en propos liminaire, introduire une nuance.

      Maintenant, rien ne vous empêche de proposer un travail similaire pour défendre les PME. Rien n’interdit non plus à la CGPME ou à l’UPA d’apporter une contre argumentation les dissociant de cette analyse.

      Concernant vos chiffres, je tiens à préciser que si les PME représentent 97 % des SNF en 2009 et 48 % des salariés, elles génèrent 37 % du chiffre d’affaires.

      PS : votre lien « franchement, c’est mal etc… » ne fonctionne pas.

      1. Avatar de vigneron
        vigneron

        Fod, pour les péhèmeuhs…
        Et on aimerait bien te voir enfin confirmer que les dividendes distribués sont en réalité très nettement inférieurs aux cotisations versées, mine de rien…

      2. Avatar de Fod

        @ Vigneron

        Merci pour le lien.

        Pour la 2ème remarque, c’est fait. Merci. 😉

      3. Avatar de Franco
        Franco

        Mes propos avaient pour but d’essayer de rétablir la vérité sur la situation des PME françaises et je suis d’accord avec vous sur le point que le Medef défende uniquement les grosses sociétés. Je souhaiterai personnellement que les grosses entreprises payent au minimum le même taux IS que les 97% des entreprises. Avec 14% IS sur le groupe Total, le problème vient de là.
        merci pour le rapport du Crédit Agricole

  3. Avatar de Benoit
    Benoit

    Merci pour cette analyse ; je n’avais pas réalisé que les dividendes distribués par les SNF étaient supérieurs aux cotisations sociales versées, et que l’écart s’accentuait.
    Par contre, je ne comprenais pas ce qu’était « l’affection primaire » dans le graphique 1 et dans le texte en dessous (qu’est-ce que l’affectif vient faire là-dedans ?). Après recherche, je suis tombé sur le terme « compte d’affectation des revenus primaires », et j’ai mieux compris, avec la syllabe complémentaire !

    1. Avatar de vigneron
      vigneron

      Benoit, révisez votre jugement, les dividendes distribués par les sociétés non financières ne sont en aucun cas supérieurs aux cotisations versées. Réfléchissez un peu, comment voulez-vous que ces Snf distribuent en dividendes plus de 200 mds alors que leur excèdent brut d’exploitation n’est lui-même que de 287 mds ? Ce sont les dividendes nets, effectivement distribués aux actionnaires, qui doivent être pris en compte et ceux-là c’est 89,9 mds. Quand on vous dit que ça va vraiment mal pour le capitalisme, vous comprenez ?

    2. Avatar de Fod

      @ benoit

      Petite coquille.
      Si vous étiez allé sur la note 6 qui expliquait le terme, vous auriez bien lu « affectation » .

  4. […] Compétitivité et coût du travail : le mauvais débat, par FOD Propagande UMP […]

  5. Avatar de Paul Jorion

    30/11 à 00h08 : deux paragraphes modifiés entre le 1er graphique et le second, à la demande de l’auteur.

    1. Avatar de vigneron
      vigneron

      C’est honteux. Un mail de Parisot (ou de son larbin Chérèque, pareil) et aussi sec le blog Jorion fait rectifier un billet… 😉

      1. Avatar de Fod

        @ vigneron

        Je n’ai pas l’âme d’un délateur, mais tout le monde sera consterné en apprenant que le coupable ici n’est pas Chérèque mais un dénommé Vigneron, un Mossieur qui passe son temps à mettre le doigt là où ça fait mal. La prochaine fois que tu verseras des dividendes à tes actionnaires, fais-le en bouteille de grands crus millésimés de ta vigne, ça fera quelques milliards en moins sur le compte D421 et quelques migraines en moins pour moi. 😉 🙂

      2. Avatar de vigneron
        vigneron

        Délateur Fod, ou detalleur ? En tout cas déflateur sur le coup.
        La vérité est mauvaise fille et encore pire payeuse. Elle paye à coup de pincées de sable dans les yeux, mais pas celui des marchands de sable, celui qui pique tellement qu’t’en dors pas. Ou sinon à poignées de petits cailloux dans les grolles, de scrupules quoi. Mélanche marche pieds-nus (l’ascèse lambertiste…) et abuse des collyres analgésiques.

  6. Avatar de Runn
    Runn

    Bonjour,

    Me demandant si les investissements industriels étaient aussi les dindons de la farce de la montée des dividendes, je me suis intéressé aux « Acquisitions nettes d’actifs fixes corporels » (ligne P511 des TEE) sur la période 1983 – 2011 de l’INSEE et en me concentrant sur les SNF.

    Il apparait que ces acquisitions sont très irrégulières, avec des forts investissements en sortie de crises (à partir de1983, puis à partir 1997, puis à partir de 2003), il y a une stagnation notable dans les années 1993-1997, ce qui compte tenu de l’inflation peut être considéré comme une diminution.

    La vision de l’analyse des chiffres peut aussi être retournée, avec chaque période de fort investissement débouchant sur une surproduction qui entraine une crise. Là le palier de 1993-1997 est intéressant car après ce laps de temps il ne se passe rien, il n’est suivi d’aucune crise immédiate, mais au contraire d’une forte augmentation qui débouchera sur la crise de 2000-2001.

    Il manque le graphique pour illustrer mes propos, dommage.

  7. […] du travail : les exagérations du patron de PSA Compétitivité et coût du travail : le mauvais débat, par FOD Billet […]

  8. Avatar de Ivan
    Ivan

    Bravo pour ce travail de salubrité publique !!

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  1. Mais, bonne nouvelle dans ce monde de brutes : Fitch et Moody’s laissent la note de la France inchangée… 🤑 https://www.tdg.ch/dette-fitch-et-moodys-laissent-inchangees-la-note-souveraine-de-la-france-766745382534

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