Email a copy of 'E pluribus unum*. Vraiment ?, par Roberto Boulant' to a friend

* Required Field






Separate multiple entries with a comma. Maximum 5 entries.



Separate multiple entries with a comma. Maximum 5 entries.


E-Mail Image Verification

Loading ... Loading ...
E pluribus unum*. Vraiment ?, par Roberto Boulant – Blog de Paul Jorion

E-Mail ‘E pluribus unum*. Vraiment ?, par Roberto Boulant’ To A Friend


Partager :

5 réponses à “E pluribus unum*. Vraiment ?, par Roberto Boulant”

  1. Avatar de Dup
    Dup

    Cela m’a fait penser à Hypérion de Dan Simmons, on y retrouve exactement ce schéma. D’un côté une humanité dépendante de l’IA qui a su mettre en oeuvre la téléportation intergalactique et de l’autre une humanité qui a joué sur la génétique pour s’adapter aux éternels voyages interstellaires. Deux realités différentes et la guerre inévitable…

  2. Avatar de Le Borgne
    Le Borgne

     
    L’humanité, son origine, son devenir et sa résistance au changement.
     
    Vous posez le problème en tant qu’être pensant.
     
    Vous faites partie des « sachant ».  Vous ne touchez pas du doigt que comme il y a 1% des plus riches de la planète, il y a 1% des plus cultivés de la planète. Je ne dis pas des plus intelligents, mais des personnes rassemblant certaines conditions nécessaires à une réflexion : la curiosité, la connaissance et l’accès au savoir, les outils de la réflexion et le temps de le faire.
     
    Les 99% n’ont pas un, deux, ou tous les outils. Ils utilisent ceux qu’on leur a transmis et qui fonctionnent aussi dans leur microcosme. Il faut pour faire bouger les lignes, un message fort de ceux qui savent.
     
    Les connaissances sur les origines de l’humanité et le bouleversement sur les idées qu’on pouvait s’en faire sont éloquentes. Posez la question au bistrot (s’il n’a pas fermé…) personne ne se soucie de nos origines, et s’il y a plusieurs zéros, on ne sait plus compter…Le mécanisme de la peur ne connaît aucune critique, c’est à cause des étrangers, point barre ; (qui viennent jusque dans nos bras, égorger nos filles et nos compagnes)
     
    La génétique confirme de jour en jour que le vivant est mosaïque, dans une même espèce et entre les espèces, ce qu’avaient observé les hommes il y a longtemps, concernant le bouddhisme par exemple. Cela ne permet pas encore d’éclairer les réactions provoquées par la peur : repli sur soi (intériorisation), lutte, fuite. La prise de conscience du problème est le premier tableau, et je dirais que 1% des hommes ont conscience du problème, 10 % sentent que ça ne va pas et le reste ne peux pas penser pour diverses raisons et s’en remettent aux gouvernements, aux autorités religieuses, à leur famille pour leur dire ce qui est bon.
     
    La bienveillance générationnelle a encore souvent cours, mais elle tend à se déliter avec des constats tels que les retraités touchent plus que les actifs… Dommage, il ne reste qu’a redistribuer aux générations futures, pour qu’elles n’aient pas la haine de notre génération de « festivus festivus » (P. Muray)
     
    Il semblerait que la vertu et le savoir aient de belles années devant eux.
     

  3. Avatar de samuel
    samuel

    J’ai un peu de mal à voir à court et moyen terme une opposition simple entre jeunes technophiles et vieux obsolescents.

    Pour les catégories populaires, la technologie remplace l’administration, comme aurait dit Coluche: « écrivez nous ce dont vous avez besoin, on fera l’ »appli » pour que vous vous en passiez » et la défense d’une sphère privé est plus maitrisé chez les catégories supérieurs.

    Effectivement il y a une moyennisation du monde par la décentralisation (qui est le prolongement entre une ORTF centralisé, potentiellement dangereuse, mais aussi plus ambitieuse et des canaux de diffusions, décentralisé basé sur l’audience ou la moyenne des recherches par un moteur de recherche, même si l’idée de Steigler de catégoriser par des amateurs éclairés est bonne, elle n’est pas effective et je suis sceptique quand à accélérer sans maitriser le véhicule pleinement).

    L’algorithme comme politique, par crainte des passions humaines, j’ai vraiment du mal. Mais j’ai pas vraiment réfléchi à des institutions hybrides homme machine, l’interface sera t’il plus facilement l’homme au lieu de la machine? c’est quand même à craindre.

     

  4. Avatar de Gudule
    Gudule

    Am stram gram pic et pic et colegram…..
    Le MES, pénalisé par les taux négatifs, veut changer ses règles
    BERLIN, 29 mai (Reuters) – Le Mécanisme européen de stabilité (MES), le fonds de sauvetage de la zone euro, souhaite une révision de ses règles d’investissement afin de pouvoir acheter des actifs plus risqués pour limiter l’impact des rendements négatifs sur son portefeuille, montrent des documents du MES et du ministère allemand des Finances que Reuters a pu consulter.

    http://bourse.lesechos.fr/forex/infos-et-analyses/le-mes-penalise-par-les-taux-negatifs-veut-changer-ses-regles-1053713.php

  5. Avatar de Gudule
    Gudule

    ça rigole moins en eurogroupie….on dirait
    L’échec du « nœud coulant »
    Cet échec et cette réunion d’urgence permettent cependant de tirer d’ores et déjà quelques conclusions. D’abord, la stratégie du « nœud coulant », qui consistait à attendre l’asphyxie de la Grèce pour la faire capituler, a bel et bien échoué. La rumeur, qui voulait que les créanciers lancent lundi 1er juin un ultimatum à Athènes sous la forme d’une offre « à prendre ou à laisser », s’est révélée fausse.

    Les créanciers reconnaissent donc désormais qu’un défaut serait aussi, pour eux, un problème, et il cherche à l’éviter en avançant des propositions. C’est clairement l’abandon de la posture de majesté consistant à demander simplement des « efforts » aux Grecs. C’est une bonne nouvelle pour la Grèce car, cette fois, les créanciers vont devoir prendre en compte, s’ils veulent éviter la rupture, certaines demandes grecques.
    Politisation du problème
    Deuxième leçon de cette réunion de Berlin : l’affaire se joue désormais au niveau politique. Angela Merkel reprend le dossier personnellement et tente de trouver une issue. C’était une demande d’Alexis Tsipras dans sa tribune au Monde : l’enjeu étant politique, la solution doit être politique.

    C’est là aussi un succès car les discussions « techniques » du groupe de Bruxelles, entre négociateurs, ont lamentablement échoué, tandis que l’Eurogroupe, dominé par un Wolfgang Schäuble qui ne cachait pas sa préférence pour une expulsion de la Grèce de la zone euro, avait mené les négociations dans l’impasse.

    Là encore, c’est plutôt favorable au gouvernement hellène dans la mesure où les chefs de gouvernement vont devoir assumer leurs choix : celui du maintien ou non de la cohésion de la zone euro. Il ne sera plus possible de se dissimuler derrière d’interminables questions techniques. La politique va dicter sa loi à la finance, non plus l’inverse. Or, la Grèce dispose d’atouts politiques : la légitimité de son gouvernement, la cohésion de la zone euro, l’épuisement de la société grecque après cinq ans d’austérité…

    http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-les-vraies-negociations-peuvent-commencer-480650.html

Contact

Contactez Paul Jorion

Les livres de Paul Jorion

Commentaires récents

  1. Mauvaise passe pour le Donald : appel rejeté dans sa condamnation pour diffamation de Jean Carroll à 83 millions de…

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta