Email a copy of 'Le colloque Walter Lippmann : aux origines du « néo-libéralisme », par Serge Audier (XII), Ludwig von Mises' to a friend

* Required Field






Separate multiple entries with a comma. Maximum 5 entries.



Separate multiple entries with a comma. Maximum 5 entries.


E-Mail Image Verification

Loading ... Loading ...
Le colloque Walter Lippmann : aux origines du « néo-libéralisme », par Serge Audier (XII), Ludwig von Mises – Blog de Paul Jorion

E-Mail ‘Le colloque Walter Lippmann : aux origines du « néo-libéralisme », par Serge Audier (XII), Ludwig von Mises’ To A Friend


Partager :

8 réponses à “Le colloque Walter Lippmann : aux origines du « néo-libéralisme », par Serge Audier (XII), Ludwig von Mises”

  1. Avatar de Charles-Henri Batjoens
    Charles-Henri Batjoens

    Le fascisme un moinde mal, c’est lui qui le dit !Von Mises comme beaucoup d’aristocrates ne supportait pas le socialisme dont le coopératisme! Système social jugé sans doute trop contraignant !Maintenant c’est vrai que le modèle libéral a beaucoup de points positifs….!

  2. Avatar de Emmanuel

    Aurais-je bien compris une idée directrice de Von Mises : liberté sans entrave pour ceux qui ont de l’argent et qui sont propriétaires ; et pour les autres, ils n’ont qu’à se débrouiller pour en gagner et le devenir….

  3. Avatar de Emmanuel

    ….Et on pourrait ajouter : un petit coup de fascisme serait un moindre mal, voire une solution, au cas où se merveilleux « équilibre » serait menacé (par les socialistes honnis)….Von Mises serait aux anges dans la période qui est la notre.

    1. Avatar de Anatole
      Anatole

      Le problème c’est que les socialistes ne menacent plus rien et que le libéralisme se nourrit précisément de déséquilibres en clivant des société en « ayants » et n »ayants pas ». Mais il est vrai qu’au fur et à mesure que les déséquilibres s’accroissent un raidissement de la « direction » est inévitable. On pourrait avoir un essai d’ autoritarisme libéral, une chimère bien heureusement sans avenir au niveau national bien qu’elle soit déjà une réalité dans les instances européennes.

  4. Avatar de paleolithic fool
    paleolithic fool

    Von Mies pour les initiés…
    Von Misses pour les intimes…

  5. Avatar de Anatole
    Anatole

    En somme il aurait aimé un fascisme libéral, préférant sacrifier son peuple à sa caste. Tout plutôt qu’une remise en cause d’un ordre social. Ca a le mérite d’être clair.
    Où l’on voit que le libéralisme se conçoit, tout le communisme ou le fascisme, comme un système final où l’opposant est diabolisé et ne mérite rien d’autre qu’être détruit.

  6. Avatar de Juannessy
    Juannessy

    J’avoue ,à ma courte honte, que j’ai un peu perdu de vue les XI rendus précédents . Je réagis donc comme si le sujet était neuf et une réponse complète au titre qui annonce ce billet ; pour finir d’être inélégant , je rappelle ma propre prise de tête sur le libéralisme :

    https://www.pauljorion.com/blog/2012/10/16/les-forces-collectives-proudhoniennes-un-complement-a-misere-de-la-pensee-economique-par-jacques-langlois/#comment-371300

    Les formes diverses ou néo du Libéralisme , pour nécessaire que soit leur étude , ne nous disent pas fondamentalement pourquoi le libéralisme faillit à son tour , après le socialisme historique même « à visage humain » comme on disait .

    J’en reste à ce jour à l’idée que le Libéralisme décliné dans sa forme « sécularisée » a été ,et est encore maintenant qu’il est seul en piste , le mariage plutôt efficace d’une fausse philosophie inspirée de l’Humanisme , et d’un outil pour gérer le réel : la propriété .

    Il bat de l’aile avec le capitalisme moderne qui l’entraine dans son agonie , et , s’il vit encore c’est parce qu’il commence à peine à naître:

    – des philosophes authentiques capables des nouveaux concepts d’une philosophie pour le monde tel qu’il va , avec son éternel nécessité de satisfaire « agir , désir, communiquer », capables aussi de faire éclore l’évidence que « vivre autrement » à la fois ne se vit pas « seul » , et passe sans doute par « un être individu » pas forcément formaté comme être social ou marchand standard .

    – une critique et remise en cause éclairées de la notion de « propriété », par les enjeux qui la dépasse .

    Liberté , Égalité , Fraternité étendue au vivant .

  7. Avatar de octobre
    octobre

    Ce Von Mises est à l’économie ce qu’un Heidegger est à la philosophie.
    Une catastrophe.

Contact

Contactez Paul Jorion

Les livres de Paul Jorion

Commentaires récents

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote bancor BCE Bourse Brexit capitalisme centrale nucléaire de Fukushima ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta