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Non, il n’est pas mort, heureusement (j’aurais mis des dates), je mets ici cette vidéo (même si je sais que beaucoup d’entre vous ne comprennent pas l’anglais) parce que je viens d’être « swept off my feet », ça ne me vient qu’en anglais (le dico me propose « subjugué », c’est un peu ça : « subjugué » + « soufflé »), en l’écoutant débattre de cette notion « il y a de la bonté en chacun de nous », centrale au roman « To Kill a Mockingbird » (1960) de Harper Lee ; Jeff Daniels jouant en ce moment dans la pièce tirée du roman.
Il y a dans toutes les crises que traversent les nations, des moments forts, où des choses essentielles sont dites. On se s’attend pas nécessairement à en entendre dans un studio de télé à l’heure des nouvelles, et surtout pas venant d’un artiste plutôt que d’un politicien.
Alors si vous comprenez l’anglais, regardez cela. Et si vous ne comprenez pas l’anglais, le moment est venu de l’apprendre : pour entendre ce que dit Jeff Daniels, sur l’un de ces moments « où les valeurs doivent déloger la valeur ».
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