Reprendre à zéro (bis) a paru dans L’Âne Le magazine…
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*Godot est mort !*
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Quelle naïveté, le flop assuré.
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reviendraient
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11 réponses à “Reprendre à zéro (bis) (1986)”
– Il ne doit plus rester beaucoup de barbares sauvages paysans à étudier .
– bien que vous l’ayez déjà évoquée et promue , j’ai encore de la peine avec l’observation participante, alors que je n’arrive pas à imaginer qu’un observateur ne perturbe pas l’événement qu’il observe, ne fût ce qu’un chouïa .
– si l’humanisme avait un totem , je me demande quelle gueule il aurait .
Je vois deux raisons à la déchéance de l’anthropologie au XXe. La peur et ou le manque de courage, devant l’enchainement des succès des sciences dur, de ne rien trouver dans le noyau et, la « sciences économique » avec son « réductionnisme méthodologique » et son avatar « l’homo economicus » tout de suite adopté et protégé par la classe bourgeoise avec comme destin de prendre la place du « surhomme nietzschéen ».
J’ai aussi la conviction que derrière votre RAZ se cache une révolution copernicienne.
Qu’est ce qu’on en dit à l’EHESS ?
Pourquoi en particulier à l’EHESS ?
Pas en particulier , mais entre autre puisqu’il me semble qu’elle ambitionne de « comprendre toutes les sociétés dans toutes leurs complexités. »
J’imagine d’ailleurs que Paul Jorion y connait du monde .
Pas sûr que la réalité du quotidien soit à la hauteur des ambitions.
Dans la foulée de votre immédiat tweet :
https://journals.openedition.org/jda/
« négation paternaliste de l’altérité de l’autre »
Si l’on ajoute une négation maternelle, ça rend l’autre ?
Dirait Annie Lebrun ( ne me demandez pas pq)
« Le temps est venu sans doute, de reprendre les choses en réfléchissant à ce que l’on fait » d’où l’intérêt de pouvoir sortir la tête du guéridon :p
» […] les questions étaient essentielles : l’origine de la religion par exemple. À la veille de la Grande Guerre, le monde intellectuel tout entier se passionne pour la question du totémisme. Ce n’est qu’une question oiseuse, car quel est l’enjeu ? La nature du sacré, l’origine du tabou, le mécanisme du sacrifice. Or le massacre de la Grande Guerre : le sacrifice de millions de soldats au nom de l’Amour Sacré de la Patrie, devait cruellement souligner que la question méritait d’être traitée et demeurait loin d’être élucidée. »
Il me semble que si on entreprend d’élucider ce genre de questions (fondements des religions ou, peut-être pire encore, du patriotisme) on ne devrait pas s’attendre à rencontrer un grand enthousiasme, même de la part de collègues universitaires (historiens, philosophes ou autres) qui ont appris soit à les esquiver soit à ne les approcher que d’une manière fort prudente. Même si les occidentaux se sont peu à peu habitués à ce que leurs différents religions se côtoient avec moins de problèmes que par le passé et que seuls les militaires de carrière sont désormais dans l’obligation d’accepter de mourir pour la Patrie, il s’agit de choses pour lesquelles, me semble-t-il, il est très mal vu de jeter une lumière crue sous le regard de tous.
La science de l’homme pour l’humanité d’aujourd’hui serait donc la recherche de ce que nous ne savons pas encore de l’humain à travers l’étude de ce que savent les sociétés autres et que nous ne savions pas encore.
Pratiquement ce serait une science du dialogue entre les sociétés et civilisations inscrites dans le devenir historique et dont l’objet est conditionné par la question pressante du comment sauver l’humanité, puisque la perfectibilité humaine comme condition humaine est désormais compromise avec l’extinction possible du genre humain. Résumons : l’humanité pour survivre doit mieux se comprendre elle-même et cela passe par l’intégration des différentes sociétés composant l’humanité dans son ensemble à un nouveau stade évolutif.
Je ne n’imagine pas qu’elle puisse être autre chose qu’un dialogue y compris via des phases d’incompréhension résultant des approches différenciées, sans quoi nous retomberions dans le biais ethnocentrique qu’il fallait éviter.