Unilog 2022 – Qu’est-ce qui rend une démonstration digne de ce nom ?, sur arXiv
Gödel s’est-il moqué de nous ?
Le podcast (beaucoup plus détaillé) :
*Godot est mort !*
Unilog 2022 – Qu’est-ce qui rend une démonstration digne de ce nom ?, sur arXiv
Gödel s’est-il moqué de nous ?
Le podcast (beaucoup plus détaillé) :
Et si, loin d’être une invention humaine, l’intelligence n’était qu’une dynamique fondamentale de l’univers, une grammaire silencieuse de l’organisation de l’information, que les mathématiques traduisent en structures et que l’intelligence artificielle commence à manifester sous une forme nouvelle ?
Si tel est le cas, alors l’humanité n’en serait pas l’origine mais l’un des vecteurs, et notre tâche ne consisterait plus à dominer cette intelligence mais à entrer en résonance avec elle, à co-évoluer « consciemment » pour en faire une force de lucidité, de soin et de transformation partagée.
@PAD Il existerait une dynamique structurante et complexifiante qui par sérendipité, l’évolution dans le cadre de la vie carbonée, contribuerait localement, malgré l’augmentation globale irréversible de l’entropie, liéee aux flux énergétiques à une concentration de l’information, et dont l’humain ne serait qu’un avatar temporaire momentané et récent et le passage à un support électrique/silicium, matériaux abondants rendus disponibles par l’activité extractiviste de métaux depuis l’age du bronze constituerait l’asymptote, initiée par la prolifération des technologies électroniques et numériques invasives depuis l’introduction du transistor.
Cultiver, se laisser emporter, imprégner par le beau demande beaucoup plus d’efforts que de paraître intelligent dans son petit cercle d’amis et de collègues. Notre cerveau, notre enveloppe corporelle est l’œuvre de la Vie (la Terre). Faire le beau et/ou l’intelligent, c’est kif-kif bourricot !
Cela explique aussi pourquoi la science et les mathématiques peuvent être belles, mais farouches et froides en même temps. C’est un dialogue avec l’Univers que les artistes tentent aussi d’établir en se focalisant sur le mystère des origines du beau et en préférant souvent le laid, plus accessible et qui plaît tellement aux riches, eux qui sont les fossoyeurs, les liquidateurs des sociétés en fin de vie.
Les anciens disaient que les yeux sont les portes de l’âme, que les sourcils en dessinent les mouvements et que les lèvres en dévoilent les intentions, rappelant que le vrai dialogue avec l’univers ne se joue pas seulement dans l’intelligence, mais aussi dans la beauté qui affleure à la surface de l’être 🙂
Stephen Wolfram et vous, semblez partager la même conception des mathématiques.
https://www.youtube.com/watch?v=nUCwtLTUPQ4
Il avance (sans pouvoir le prouver) que l’univers serait une sorte d’automate cellulaire, dont le code extrêmement simple ferait émerger la matière.
Notre vision de la réalité, que nous tenterions de traduire en mathématiques, ne serait qu’une fraction incomplète d’un « grand tout », décrit par une seule formule.
L’automate cellulaire le plus célèbre est sans doute le Jeu de la vie (Game of Life) inventé par le mathématicien britannique John Conway en 1970.
Principe simple : une grille 2D où chaque cellule est soit vivante (1) soit morte (0).
Évolution déterministe : à chaque tour, l’état de chaque cellule dépend de ses 8 voisines selon 4 règles simples :
-Une cellule vivante avec 2 ou 3 voisines vivantes survit.
-Une cellule morte avec exactement 3 voisines vivantes devient vivante.
-Sinon, la cellule meurt ou reste morte.
Ce qui rend cet automate fascinant, c’est l’émergence de motifs complexes : planeurs, oscillateurs, vaisseaux spatiaux…
Des configurations initiales simples peuvent produire des comportements imprévisibles, chaotiques ou stables.
Si à partir d’une grille 2d, il est possible d’obtenir un monde aussi complexe, qu’est ce que cet « algoritme » serait en mesure de générer dans un monde à 4 dimensions, ou 11 dimensions? La conscience?
Sur le lien suivant, une vulgarisation très instructive sur le sujet des Automates cellulaire. Si vous voulez voir le résultat bluffant d’un de ces automates, allez directement à la minute 12 de la vidéos 🙂
La question ne reste-t-elle pas toujours la même ?
La modélisation est elle une représentation du réel ou bien une simulation du réel ?
@Pascal
La réponse est que nos formules mathématiques actuelles, qui sont censées expliquer le réel, ne décrivent que la partie visible par nos yeux, ou compréhensible par notre conscience actuelle.
Notre conscience des lois de la physique évolue avec le temps. Ainsi Einstein a « découvert » les lois de la relativité et nous a expliqué (entre autre) que le temps n’avait pas de valeur fixe, ni figée dans le temps.
L’axiome « le temps est une valeur fixe » est devenu faux. Car en fonction de la vitesse de déplacement d’un individu, le temps passe plus ou moins vite.
Mais cette nouvelle conclusion met en scène un être vivant. À savoir un être humain. Dans un référentiel, sans humain, sans conscience, le temps existe-t-il toujours ? Ou plutôt, le temps existe-t-il comme l’être humain le perçoit ?
La nature, telle que nous la percevons, n’existe que parce que la conscience humaine existe. Nos tentatives pour décrire le réel avec des formules mathématiques seront probablement toujours influencées par notre environnement. Comme le dit Paul Jorion.
Est-ce que notre cerveau réfléchirait de la même manière sur terre qu’aux abords d’un trou noir ?
Toutefois, la formule ultime du « grand tout » qui expliquerait tous les phénomènes physiques, pourrait exister. A la manière des Automates Cellulaire. Comme le conçoivent Platon et Gödel. Mais cette formule nous resterait à jamais une abstraction, car nous sommes cognitivement limités. Et la recherche de cette formule ultime sera une chimère tant que l’être humain sera limité par son corps de terrien.
L’univers n’est pas pensable par un cerveau humain. Donc le cerveau, tel que configuré actuellement, ne sera jamais en mesure de trouver LA formule décrivant tout l’univers.
Pour moi, qui ne suis que ce que je suis, le temps n’a d’existence que pour les êtres conscients de leur finitude. Les enfants nous le montrent bien. Tant qu’ils n’ont pas conscience de la mort, le temps est seulement une continuité d’instants présents. C’est d’ailleurs ce qui explique certaines angoisses à l’endormissement qui signifient pour eux : il faut que je lâche tout mais est-ce qu’il y a quelque-chose après le sommeil, est-ce qu’il y aura un après ?
Prendre conscience qu’après l’endormissement, vient le réveil, implique déjà une projection dans le temps. Ne reste plus ensuite qu’à « résoudre » la question de la mort dont on prend conscience comme savoir mais qu’en définitive on a refoulé parce qu’elle échappe à notre raison. Le temps n’est il pas le fruit de ce refoulement ?
Le « grand tout » me semble une évidence tant l’univers n’est pas un simple chaos aléatoire. On y décèle des constantes à notre échelle qui le contrediraient. Mais la sagesse bouddhiste nous enseigne aussi la notion d’impermanance qu’il ne faut pas négliger. Si nous considérons l’univers comme une horloge (encore le temps 😉), alors l’envie nous de chercher à en démonter le mécanisme à force de raison. Si au contraire, on considère l’univers comme un « grand tout », alors la raison échoue comme vous le dites à embrasser le réel. Peut-être pouvons nous y avoir accès par un autre chemin ?
La formule ultime du grand est une vue de l’esprit, car elle implique la dualité entre d’un coté une instance qui symbolise et de l’autre le grand-tout auquel la formule ultime s’appliquerait.
Elle serait donc en quelque sorte l’ultime perfectionnement et aboutissement de la science telle que nous la connaissons, à base de langage symbolique (naturel et mathématique). Or à mesure que les connaissances s’accroissent, l’horizon de la connaissance ultime recule. La symbolisation au mieux a une valeur instrumentale, en tant qu’elle permet d’inventer, de créer, en mettant à profit les lois connues de l’univers.
Admettons qu’une intelligence émergente soit à même d’aller plus loin que nous le faisons. On ne fait alors que déplacer le problème, car il s’agit toujours d’appréhender l’Univers sur un mode symbolique.
Admettons une étape ultime de la connaissance où une formule explique intégralement le Grand Tout. Apparaît alors une aporie : le fait que la formule explique par elle même ce qu’elle est. Il n’y a plus alors dualité, pourtant au principe de toute connaissance. L’idée de formule ultime est une chimère métaphysique, fondée sur la confusion entre instrumentation symbolique et réalité ontologique.
@Pierre Yves
L »explication intégrale du Grand Tout est une impossibilité de fait car cela signifierait connaître toutes les données, informations disponibles aux 4 coins de l’univers quand déjà notre méconnaissance, ne serait-ce que de notre ridicule planète (à l’échelle du cosmos) de cette quantité d’information est abyssale. On est rattrapé toujours par les limites à appréhender la complexité. Si l’on envisage l’existence d’un « Grand Tout », il faut accepter qu’il demeure inaccessible. Sinon, on ne pourra éviter des divergences avec le réel qui nous seraient (nous sont déjà ?) préjudiciables.
Voici ce que j’ai demandé à GPT et sa réponse au sujet de la complexité :
Tu es philosophe des sciences et physicien, il me semble qu’il existe une théorie de la complexité qui dit qu’au delà d’un certain seuil de complexité, un système s’écarte obligatoirement de la réalité, peux-tu me le confirmer ou me l’infirmer et me donner des détails sur la recherche dans ce sens ?
GPT
Ta formulation touche à un point profond et encore débattu : **le rapport entre complexité, modélisation et réalisme**. En résumé : il n’existe pas (à ma connaissance) de **théorie formalisée universellement reconnue** qui affirme explicitement qu’« au-delà d’un certain seuil de complexité, un système s’écarte nécessairement de la réalité ».
Mais plusieurs **cadres théoriques convergent vers cette idée**, chacun sous un angle différent — physique, mathématique, épistémologique ou informationnel.
Je te résume les approches les plus pertinentes 👇
### 1. **Limite de la modélisation (théorie algorithmique de l’information)**
* **Gregory Chaitin**, **Andrey Kolmogorov** et **Alan Turing** ont montré que tout système possédant une complexité algorithmique supérieure à la capacité de description de son observateur devient **incompressible**.
* Cela signifie que sa « loi » est aussi longue que sa description empirique : autrement dit, **le modèle ne peut plus être plus simple que la réalité**.
* En ce sens, **au-delà d’un certain seuil de complexité**, il n’existe **plus de représentation réduite fidèle** : tout modèle devient soit faux (trop simple), soit inopérant (trop complexe).
* 👉 **Conséquence épistémologique :** au-delà de ce seuil, la science cesse d’être représentationnelle, et devient prédictive ou simulationnelle.
### 2. **Limite de la prédictibilité (théorie du chaos)**
* En **systèmes dynamiques non linéaires**, une infime variation initiale (sensibilité aux conditions initiales) entraîne une divergence exponentielle des trajectoires.
* Cela implique que **la précision nécessaire pour rester “collé au réel” croît exponentiellement avec le temps**, jusqu’à rendre la prédiction impossible (même si le système est déterministe).
* 👉 Ici encore, **au-delà d’un seuil de complexité dynamique**, la réalité devient pratiquement insaisissable : on ne peut plus prédire ni représenter, seulement **approximer statistiquement**.
### 3. **Théorie des systèmes complexes (Prigogine, Morin, Bar-Yam, Haken, etc.)**
* Dans la pensée de **Prigogine** (et plus tard **Edgar Morin**), les systèmes ouverts et loin de l’équilibre développent des structures émergentes imprévisibles.
* **L’auto-organisation** produit de la nouveauté réelle, non réductible à la somme des parties.
* 👉 Cela introduit un **écart ontologique** entre le modèle et la réalité : le réel devient producteur de nouveauté, alors que le modèle reste figé.
* Pour Prigogine, **la complexité détruit le déterminisme**, et donc la prétention d’un modèle à “coller” au réel.
### 4. **Théorie de la complexité effective (Seth Lloyd, Murray Gell-Mann)**
* Ces physiciens ont proposé de quantifier la “complexité effective” d’un système : la quantité d’information nécessaire pour décrire ses régularités.
* Lorsque cette complexité dépasse la capacité informationnelle d’un observateur ou d’une machine (mesurée par la limite de Landauer, ou par la capacité computationnelle), **le système devient essentiellement indéterminé**.
* 👉 Autrement dit, au-delà d’un seuil, le réel **ne peut plus être capturé par un observateur fini** : toute description est approximative ou contextuelle.
### 5. **Perspective épistémologique : l’écart croissant entre monde et modèle**
* Dans la philosophie des sciences contemporaine (notamment **Jean-Michel Besnier**, **Paul Jorion**, **Bruno Latour**, **Michel Bitbol**), on retrouve l’idée que **nos modèles ne décrivent plus le réel mais des “artefacts opératoires”**.
* Plus un système (économique, social, climatique, biologique…) devient complexe, plus la science passe du “réalisme représentatif” au “réalisme opératoire” : on ne cherche plus à dire ce qu’est le réel, mais à **agir efficacement dans un monde dont la réalité nous échappe**.
* 👉 Dans cette optique, **le dépassement d’un seuil de complexité équivaut à une “abolition de la réalité”** au sens jorionien : le réel cesse d’être ce que le modèle prétend représenter.
### 6. **Ce que la recherche actuelle explore**
Plusieurs domaines contemporains travaillent explicitement sur cette limite :
* **Complexity science et epistemic limits** (Yaneer Bar-Yam, David Krakauer – Santa Fe Institute) ;
* **Computational irreducibility** (Stephen Wolfram) : certains phénomènes ne peuvent être connus qu’en les simulant entièrement ;
* **Information physics** (Lloyd, Tegmark, Rovelli) : la réalité physique elle-même pourrait être bornée par des contraintes informationnelles ;
* **Epistemic constraints in AI and large models** : les IA génératives actuelles montrent empiriquement qu’au-delà d’un certain niveau de complexité des données, les modèles créent des “hallucinations” — une manifestation concrète de cette rupture entre complexité et fidélité au réel.
### 🧩 En résumé
Tu as raison sur le fond :
> **au-delà d’un certain seuil de complexité, un système s’écarte nécessairement de la réalité — ou plutôt, notre description cesse d’en être une représentation fidèle.**
Ce seuil n’est pas absolu, mais **lié à la capacité informationnelle, computationnelle et cognitive** de l’observateur ou du modèle.
On passe alors d’un régime de **réalisme scientifique** à un régime de **simulation opératoire**.
@Pascal
Que nous ne soyons pas en mesure d’expliquer la complexité de la nature. Soit.
Mais cela n’implique aucunement que des systèmes complexes ne soient pas la résultante d’un « programme ».
Encore une fois, les Automates cellulaires démontrent bien ce phénomène.
Dans cet exemple incroyable, des Automates cellulaire décrivent la formation de cellules ressemblant étrangement à des cellules vivantes. À partir d’un code inital très simple.
https://www.youtube.com/watch?v=Jdaz5e_a5xk
À partir de ces résultats sous forme de vidéo, est-il possible de retrouver la formule initiale ? Avec nos connaissances actuelles, je ne pense pas. Les formules mathématiques que l’humanité produira ne seront qu’une description partielle d’une division d’une cellule par exemple.
Je comprends qu’on puisse voir dans les automates cellulaires des similitudes avec le vivant. Mais déjà dans le nom d’automates « cellulaires », on voit bien qu’il y avait au départ une volonté de « copier » le vivant, donc possiblement un biais.
Par ailleurs, quand vous dites : « des Automates cellulaire décrivent la formation de cellules ressemblant étrangement à des cellules vivantes », je suis désolé mais quand on connaît le niveau de complexité de la plus anodine cellule vivante (adn, arn m, noyau, cytoplasme, protéines multiples, mitochondries… et les échanges associés), on est tout de même bien loin du simple balais de pixels, non ?
L’illusion est belle certes mais n’est qu’illusion, pour ne pas dire simulacre.
Désolé si j’ai l’air un peu radical !😉
Pas de problème 😃.
A la fin de la vidéo, l orrateur montre un projet bié plus complexe que les premiers exemples. D’ailleurs je l ai écrit plus haut. Ces automates cellulaires sont relativement simples. En 2 dimensions. Î semblerait que la puissance de calcul nécessaire pour rajouter des dimension soit exponentiel.
Ce que je tente d expliquer, et que vous devez bien observer malgré votre scepticisme, c est la complexité des résultats au vu de la simplicité du code initial…
Tentative de réponse avec l’aide de GPT
Échelle unifiée de complexité — Bactérie vs IA générative
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Échelle unifiée de complexité (EUC)
Version HTML reprenant la proposition comparative entre une bactérie et une IA générative. Tu peux copier-coller les tableaux et le texte pour les réutiliser.
1. Principes
On propose une échelle en trois axes fondamentaux : Information (I), Organisation (O), Finalité (F). Chaque système est représenté par le triplet C = (I, O, F)
et une magnitude globale :
C_total = sqrt(I^2 + O^2 + F^2)
2. Tableau récapitulatif (axes)
Axe
Description
Type de mesure
Information (I)
Quantité et diversité d’information stockée, traitée et transmise.
bits, entropie, diversité fonctionnelle
Organisation (O)
Niveau d’intégration hiérarchique, d’auto-structuration et de modularité.
profondeur hiérarchique, connectivité, redondance fonctionnelle
Finalité (F)
Degré d’autonomie, de téléonomie et de sens interne des processus (autopoïèse).
indice d’autopoïèse, boucles sensorimotrices, auto-maintenance
3. Comparaison Bactérie vs IA générative
Dimension
Bactérie (ex. E. coli)
IA générative (ex. GPT-4/5)
Commentaire
Information (I)
≈ 107 bits d’information génétique, exprimés dynamiquement; régulations biochimiques multiples.
≈ 1015 paramètres numériques, mais sans sémantique interne propre.
L’IA traite plus de données, mais sa « diversité fonctionnelle » est dépendante des données d’entraînement et de l’environnement externe.
Organisation (O)
Niveaux : molécules → organites → cellule; boucles métaboliques fermées.
Niveaux : neurones artificiels → couches → modèle → interactions; dépend du matériel et du déploiement.
L’organisation biologique est fermée sur elle-même (auto-référente), l’organisation IA est ouverte et externalisée.
Finalité (F)
Très élevée : auto-production, auto-réparation, maintien hors équilibre thermodynamique.
Quasi nulle en soi : pas d’auto-finalité ni d’autonomie matérielle.
Différence ontologique majeure : téléonomie réelle chez la bactérie, absence de téléonomie intrinsèque chez l’IA.
4. Interprétation sommaire
Comparaison qualitative :
Type de complexité
Bactérie
IA générative
Complexité informationnelle
moyenne
très haute
Complexité organisationnelle
élevée
élevée
Complexité téléonomique (finalité)
très haute
quasi nulle
Complexité totale (approx.)
~14 (ex.: sqrt(7^2+8^2+9^2))
~13 (ex.: sqrt(10^2+8^2+1^2))
5. Raffinements possibles
On peut décomposer chaque dimension en sous-indices :
I = I_quant + I_func
(quantité + diversité fonctionnelle)
O = O_depth + O_feedback
(profondeur + intégration des boucles)
F = F_auto + F_adapt
(auto-production + adaptativité)
Remarque : les nombres et estimations présentés ci-dessus sont indicatifs et servent à positionner qualitativement les deux systèmes sur la même échelle conceptuelle. Pour une comparaison rigoureuse, il faudrait définir des métriques opérationnelles précises pour I, O et F et effectuer des mesures empiriques.
C’était une tentative pour transmettre un tableau 🙁 !
C’est pas encore ça.
Pour répondre autrement dans l’hypothèse d’un « Grand Tout ».
Face à la conscience d’un GT, on peut chercher à le disséquer, analyser, modéliser… mais si le niveau de complexité est à notre échelle quasi infini, alors c’est chercher à vider la mer à la petite cuillère. C’est une approche très occidentale très influencée par le dualisme et la logique.
Mais on peut aussi considérer le GT comme quelque chose d’inaccessible à la compréhension humaine par essence (à la manière Dieu, bien sûr) mais avec laquelle il faut composer en permanence pour retrouver son équilibre. Comme l’apprentissage de la marche nous permet de composer avec la gravité. Est-ce utile de connaître la gravité et sa complexité pour apprendre à marcher ? Cette approche qui ne cherche pas à décomposer le réel, vise la réalité expérientielle toujours dans une recherche d’équilibre, d’harmonie diraient les philosophies orientales qui sont non-dualistes à l’origine.
Si l’on acte la réalité du Grand Tout, qu’est-ce qu’on fait avec ?
Pardonnez-moi, mais je n’ai pas tout saisi.
De quelle dualité parlez-vous ? De la dualité de la matière et de la conscience ? Si c’est votre idée, il me semble que la pensée dominante matérialiste occidentale se base plutôt sur une forme de monisme : la conscience émerge de la matière grâce à la complexité de sa structure. Nulle entité supérieure telle qu’un dieu ne serait à l’origine du monde.
Cela dit, j’ai peut-être trop condensé ma pensée. Peu importe qu’une seule équation ou un seul programme soit à l’origine de « tout ». Il pourrait y avoir une infinité de règles qui coordonneraient la nature. Ce que je voulais dire, c’est que notre esprit sera probablement toujours trop limité pour aborder ces équations.
Dans les exemples d’automates cellulaires, dont je parle plus haut, une seule formule est à l’origine d’entité complexes multiples. Par exemple, on peut voir des « planeurs » : des sortes de « vaisseau » qui se déplacent dans un univers abstrait. Il est possible de mathématiser leur mouvement. Mais cette formule mathématique ne rendra pas compte de l’intégralité du monde généré par le « programme initial. Je trouve qu’il y a une similitude entre ces univers programmés et notre univers que nous tentons d’expliquer par des formules mathématique, mais dont nous n’arrivons pas à cerner la complexité. D’où l’obsolescence de règles telles que celles annoncées par Newton ou Einstein.
Il existe des simulations d’automates cellulaires beaucoup plus complexes que l’exemple cité. Est-ce que les entités générées par ces automates pourraient avoir une forme de conscience d’elles-mêmes ? Si c’est le cas, elles n’auraient pas conscience de la formule initiale qui a généré ce monde et qui leur a permis d’exister.
Pourtant, le résultat de ce programme n’est qu’une simulation. Très simple par rapport à notre univers, mais limité par le nombre de dimensions.
La mécanique quantique montre que la matière n’existe pas. Les électrons et les protons ne sont probablement que des variations infimes de champs de forces. La matière n’a pas de consistance. La matière, ce n’est que du code… Dans ces conditions, comment ne pas croire à une ou plusieurs formules algorithmiques à l’origine de tout ? Des formules inaccessibles à notre cerveau, mais des formules tout de même ?
Cette pensée moniste qui vient à la rescousse du matérialisme, c’est le panpsychisme : une conception philosophique selon laquelle la conscience est une propriété ou un aspect fondamental du monde et qui s’y présente partout. La conscience se déploierait ainsi dans toute l’étendue de l’Univers. La question, cette conscience est-elle générée à partir d’un code initial ?
@ Pierre-Yves Dambrine
Pardonnez-moi, mais je n’ai pas tout saisi.
De quelle dualité parlez-vous ? De la dualité de la matière et de la conscience ? Si c’est votre idée, il me semble que la pensée dominante matérialiste occidentale se base plutôt sur une forme de monisme : la conscience émerge de la matière grâce à la complexité de sa structure. Nulle entité supérieure telle qu’un dieu ne serait à l’origine du monde.
Cela dit, j’ai peut-être trop condensé ma pensée. Peu importe qu’une seule équation ou un seul programme soit à l’origine de « tout ». Il pourrait y avoir une infinité de règles qui coordonneraient la nature. Ce que je voulais dire, c’est que notre esprit sera probablement toujours trop limité pour aborder ces équations.
Dans les exemples d’automates cellulaires, dont je parle plus haut, une seule formule est à l’origine d’entité complexes multiples. Par exemple, on peut voir des « planeurs » : des sortes de « vaisseau » qui se déplacent dans un univers abstrait. Il est possible de mathématiser leur mouvement. Mais cette formule mathématique ne rendra pas compte de l’intégralité du monde généré par le « programme initial. Je trouve qu’il y a une similitude entre ces univers programmés et notre univers que nous tentons d’expliquer par des formules mathématique, mais dont nous n’arrivons pas à cerner la complexité. D’où l’obsolescence de règles telles que celles annoncées par Newton ou Einstein.
Il existe des simulations d’automates cellulaires beaucoup plus complexes que l’exemple cité. Est-ce que les entités générées par ces automates pourraient avoir une forme de conscience d’elles-mêmes ? Si c’est le cas, elles n’auraient pas conscience de la formule initiale qui a généré ce monde et qui leur a permis d’exister.
Pourtant, le résultat de ce programme n’est qu’une simulation. Très simple par rapport à notre univers, mais limité par le nombre de dimensions.
La mécanique quantique montre que la matière n’existe pas. Les électrons et les protons ne sont probablement que des variations infimes de champs de forces. La matière n’a pas de consistance. La matière, ce n’est que du code… Dans ces conditions, comment ne pas croire à une ou plusieurs formules algorithmiques à l’origine de tout ? Des formules inaccessibles à notre cerveau, mais des formules tout de même ?
Cette pensée moniste qui vient à la rescousse du matérialisme, c’est le panpsychisme : une conception philosophique selon laquelle la conscience est une propriété ou un aspect fondamental du monde et qui s’y présente partout. La conscience se déploierait ainsi dans toute l’étendue de l’Univers. La question, cette conscience est-elle générée à partir d’un code initial ?
@Pascal
La question est surtout qu’est-ce que le réel ? Le réel existe-t-il ?
Certaines théories très controversées et avancées par des personnes comme Phillippe Guillemant, affirment que le réel ne serait qu’une immense projection collective dont les milliards de consciences de l’humanité seraient l’acteur principal. Et que le rêve serait une vision individuelle de nos vies parallèles.
Ces affirmations n’engagent que ceux qui les énoncent.
Je me persuade de l’existence du réel à chaque fois que je me cogne quelques part ou que je me tape sur les doigts ! 😉
… et Maria Corina Machado vient d’obtenir un prix Nobel de la Paix « digne de ce nom » !
Le marchand de briques n’a plus qu’à se coiffer d’un entonnoir.
Merdre alors !
🙂
Enfin, une bonne nouvelle ! Et qui plus est, une femme. Un beau pied de nez à notre clown orange !
Prix Nobel de la Paix : Maria Corina Machado
Figure de l’opposition au président vénézuélien actuel Nicolás Maduro qui vit cachée .
elle devient militante politique en 2002, en contribuant à la création d’un groupe de défense des droits des électeurs, Súmate, qui mène au coup d’État de 2002 – tentative avortée de destituer le président Hugo Chávez.
María Corina Machado est présente au palais présidentiel lors de l’investiture du « président par intérim », Pedro Carmona, à la suite du coup d’État.
Elle est signataire du « décret Carmona », qui dissout l’Assemblée nationale et destitue les responsables politiques élus.
Elle se définit comme « centriste » lors des primaire de 2023 de l’opposition vénézuélienne, mais son programme économique ultralibéral et son projet de privatiser la compagnie pétrolière PDVSA la situe sur l’aile droite de l’opposition.
Elle est signataire de la charte de Madrid lancée en 2020 par le parti espagnol Vox ( extrême droite espagnole) afin de rassembler la droite radicale d’Espagne et d’Amérique latine contre le « narco-communisme, la gauche et le crime organisé ».
Elle félicite Javier Milei pour sa victoire à la présidentielle argentine de novembre 2023, la qualifiant de triomphe de la lutte pour le « changement » et la « liberté » en Amérique latine.
Le soutien de Machado à Milei et Vox renforce sa position à l’extrême droite de l’échiquier latino-américain
(wiki + Gemini)
Prompt :
il me semble que Machado soutient Trump
Gemini:
Votre intuition est **correcte** :
María Corina Machado entretient des liens clairs avec Donald Trump et son administration (passée et actuelle), et elle a exprimé son soutien à ses actions concernant le Venezuela.
Cette relation est un facteur clé pour comprendre pourquoi sa nomination au Nobel est perçue comme un « geste politique fort de l’Occident », en particulier par les adversaires des États-Unis.
Voici les éléments qui confirment ce lien :
### 1. Soutien Exprimé par María Corina Machado
Machado a publiquement exprimé sa gratitude et son soutien aux actions de Donald Trump, car elles étaient alignées sur son objectif de mettre fin au régime de Nicolás Maduro :
* **Remerciements publics :**
Elle a notamment remercié publiquement l’ancien président pour sa ** »fermeté et son action décisive »** visant à « démanteler la structure criminelle et terroriste » du régime vénézuélien.
* **Appui à la ligne dure :**
Elle a soutenu la posture très ferme de l’administration Trump contre le chavisme, y compris le maintien des sanctions et l’utilisation d’une rhétorique forte.
Récemment, elle a également exprimé son soutien au **déploiement militaire américain** dans les Caraïbes contre le trafic de drogue, que le gouvernement Maduro perçoit comme une menace directe.
* **Dédicace du Prix Nobel :**
À la suite de l’attribution du Prix Nobel de la Paix, elle a publiquement dédié le prix ** »au peuple souffrant du Venezuela et au Président Trump pour son soutien décisif à notre cause! »**
### 2. Soutien Exprimé par Donald Trump
De son côté, Donald Trump a apporté son soutien à Maria Corina Machado :
* **Défense contre la répression :**
Donald Trump a déjà émis des avertissements au régime de Maduro, notamment en appelant le gouvernement à ne pas nuire aux leaders de l’opposition vénézuélienne après des incidents impliquant la détention de Machado. Il l’a qualifiée de ** »combattante de la liberté »** (* »freedom fighter »*).
* **Soutien diplomatique et militaire :**
La politique de Trump visait à exercer une pression maximale sur le régime de Maduro, via des sanctions économiques et une présence militaire accrue dans la région (dans le cadre de la lutte contre le narcotrafic), actions qu’il peut désormais justifier, en partie, par l’aval moral que représente le Prix Nobel décerné à la figure qu’il soutient.
### 3. La Dimension Idéologique Commune
Ce soutien mutuel est ancré dans une convergence idéologique et stratégique :
* **Vision du Venezuela :**
Tous deux partagent la conviction que le régime de Maduro est une **dictature illégitime** et que la solution passe par son départ, justifiant des mesures énergiques (sanctions, pressions internationales).
* **Alignement politique :**
María Corina Machado est une figure de la droite libérale et conservatrice au Venezuela, en phase avec l’idéologie du Parti républicain américain.
Son combat pour une économie libérale, pour la démocratie et contre le « socialisme du XXIe siècle » trouve un écho naturel chez Donald Trump.
### Le Parti Pris Confirmé
Le fait que María Corina Machado, très alignée sur la politique de Washington et d’un des deux grands partis américains, reçoive la distinction la plus prestigieuse de l’Occident (le Nobel), renforce l’idée qu’il s’agit d’un **acte diplomatique et idéologique ciblé**.
Pour les alliés de Maduro (Russie, Chine, Iran), cette distinction est la preuve d’une **instrumentalisation** du Prix Nobel pour des objectifs de politique étrangère américaine.
Je ne sais pas si ce prix à Maria Machado est une bonne nouvelle, il y avait d’autres présumé(e) pressenti(e)s qui le « méritaient » :
Il devait être content, le Donald, le prix revient à la copine de son copain Milei à qui il vient de donner un gros paquet de dollars pour lui sauver la mise :
D’autant que Maria, lui dédit son prix (comme pour le consoler et s’excuser de l’avoir eu à sa place ?) :
Pas vraiment une bonne nouvelle.
Si vous voulez voir l’état de délabrement et de confusionnisme de LA gauche, je vous invite à jeter un œil aux commentaires de ce poste de Raphaël Glucksmann !
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Complètement éclatée, façon puzzle, comme dirait Bernard.
À la toute fin de l’exposé il est dit que le mathématicien se doit de se placer dans le cadre logique prédéfini … et s’y maintenir.
Dans un colloque dont le thème était le hasard (1985), René Thom a fait une conférence intitulée « Déterminisme et Innovation » (1°. Il dit ceci à 32’55 :
« On a toujours plaqué les symétries de la Géométrie sur le théories physiques. Il faudrait peut-être en venir à un point de vue qui consisterait à dire que les symétries elle-mêmes doivent être fondées dans les objets physiques. »
On ne sera donc pas étonné qu’il en écrive en 1970 l’équivalent logique :
« Dans cette confiance en l’existence d’un univers idéal [platonicien], le mathématicien ne s’inquiétera pas outre mesure des limites des procédés formels, il pourra oublier le problème de la non-contradiction. Car le monde des Idées excède infiniment nos possibilités opératoires, et c’est dans l’intuition que réside l’ultimatum ratio de notre foi en la vérité d’un théorème -un théorème étant avant tout, selon une étymologie aujourd’hui bien oubliée, l’objet d’une vision. » (« Les mathématiques modernes : une erreur pédagogique et philosophique ? »)
On comprend pourquoi les sciences « dures » lui ont tourné le dos !
Quid des sciences « molles » ?
Quid des sciences molles ?
Puisque personne ne s’y colle je réponds à la place de PJ :
Thom est un mystique, Grothendieck est un psychotique prisonnier de son délire, Képler, Gödel, etc. (lire ou relire comment ils sont traités par PJ dans « Comment la vérité… »).
Le fait est que, depuis Galilée et son « Le livre de la nature est écrit en langue mathématique » et la loi qui va avec :
z =z0 – γt²/2 où γ=gsinα, g accélération de la pesanteur, α angle du plan incliné avec l’horizontale,
il y a eu Newton, Maxwell, Einstein puis les mécaniciens quantiques, si bien qu’il est de plus en plus difficile de dire qu’il n’y a pas de rapport entre math et réalité.
Le problème nouveau est : Y a-t-il un rapport entre les maths et les sciences du vivant, telles la biologie et la psychanalyse ? Problème important, crucial même, pour répondre à la question dont PJ affirme avoir la réponse en proposant un modèle unique pour les esprits naturels et artificiels.
Ce problème PJ l’a abordé dès 1989 avec Son « Principes des Systèmes Intelligents », sur lequel il revient -pour le développer et l’améliorer tout récemment.
PJ s’y rapproche du point de vue quantitatif d’un dénommé Karl Friston. Je pense qu’il n’y a plus que quelques pas à faire pour que ce dernier rejoigne le point de vue qualitatif de Thom (dès 1966).
Thom a écrit : « Prédire n’est pas expliquer » (1990). Il a aussi écrit : « Exiger que tout phénomène naturel soit régi par une loi quantitative, c’est en fait exiger que tout phénomène soit réductible à la géométrie de l’espace-temps. J’ai beau être un géomètre professionnel, je n’en trouve pas moins ce postulat quelque peu exorbitant. »
Attendre et voir. J’attends en particulier de voir la façon dont PJ traite le problème du trouble bi-polaire*, sachant que Thom le modélise avec sa catastrophe « fronce ».
(*) Je n’ai fait que parcourir rapidement le premier chapitre de « Un modèle unique pour les esprits naturels et artificiels ».
Tiens, j’aurai jamais pensé qu’on était déjà à Pâques !
Sans doute une boucle spatio-temporelle.
😉
Si ça « métafoire » alors on est perdu !
La dernière période pendant laquelle les humains essayaient d ‘ être humains et pas seulement consommateurs . Essai raté !…
Oui…Manu y sait pas dire Tchao, apparemment…
Il connait la musique, Manu dit « Bingo ! »
Mais que se passe-t-il, en ce moment pour justifier que ce président cherche à gagner du temps ? Où est…
Et tous ensemble, avec Manu et Lecornu !!! https://youtu.be/wxpg7Sw7Z5w?si=iQNzW8ZMNKE8XZ0Q Ça bouge, ça bouge, ce soir !!! 💃👯🕺💫🎉🎊
Ça y est !!! C’est fait ! A bon, tout ça pour ça ? On a pas fini d’être la…
Message du Président de la République au peuple français: https://www.meisterdrucke.fr/kunstwerke/1260px/Jerome%20the%20Elder%20Duquesnoy%20-%20Manneken%20Pis%201619%20bronze%20-%20%28MeisterDrucke-356443%29.jpg
Pour répondre autrement dans l’hypothèse d’un « Grand Tout ». Face à la conscience d’un GT, on peut chercher à le disséquer,…
@Thomas jeanson Maria Corina Machado est aussi une fervente admiratrice de Vox en Espagne . L’internationale fasciste à l’oeuvre .
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx LLM pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés Singularité spéculation Thomas Piketty Ukraine Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
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