Une réponse à “Chine / Occident : deux manières d’appréhender le monde, le 1er mai 2021 – Retranscription”
un lecteur
Ébauche
Cette réflexion tourne autour de la compression, l’optimisation du stockage, une vertu de l’Univers avec d’autres comme la dissémination (reproduction) de structures stables (à notre échelle), la redondance et le recyclage.
Le principe qui sous-tend l’enregistrement de la pensée est la structure stable pour l’Asie tandis que l’Occident opte pour l’algorithme de compression. Chez nous, le passage de la langue parlé à celle écrite se fait par un système de compression qui associe un signe à un son, la Chine utilise un signe/son unique par structure stable.
Le syllogisme permet la compression et l’élimination d’information redondante. La superposition de structure stable permet par interférence(+-) d’en extraire les composantes.
Le défaut du système occidental, c’est l’illusion de l’existence de catégories, d’essences abstraites, qui permettent de générer le Tout (compression sans perte du signal original). Celui du système asiatique, c’est l’existence d’un ensemble fini de structures stables.
Ces mêmes défauts sont aussi à l’origine des vérités. Chez nous, elles prennent la forme d’essences abstraite, d’un algorithme et d’une machine qui fabrique l’Univers (1,2,3). Celle asiatique est un jeu fini (2^N) de structure stable qui permet à une machine qui les superpose de matérialiser l’Univers(1,2).
Les Chinois savent qu’ils vivent au paradis (Empire du milieu), les structures stables qu’ils leur servent à décrire l’Univers se trouvent dans la nature. Les Occidentaux confondent le paradis avec les abstractions génératrices du Tout.
La partie n’est pas finie, ça ne passe pas (provisoirement ?) au niveau de la Chambre des Représentants (5 défections…
Le principe de la grenouille dans la marmite d’eau Imaginez une marmite remplie d’eau froide, dans laquelle nage tranquillement une…
Nous avions échangé par mail en juin 2021… A l’époque, cela fonctionnait.
» Victoires Populaires était ce matin aux côtés d’autres représentant·es de la société civile et à l’appel de Lucie Castets…
Je constate que cette tête d’ampoule n’a toujours pas été informé du conflit qui se déroule sur le continent européen.…
Oh c’est joli ça !
@Garorock Le dernier billet de Lordon, sur l’union, justement. A méditer, et à savourer pour le style 😉 https://blog.mondediplo.net/l-union-quelle-union
Me semble bien que Tik-tok soit présent en chine. Mais bridé! Contrairement au Pangolin* qui était en roue libre. Y’en…
Si le capitalisme avait tout misé sur les communs, on appellerait « dividendes » le sourire des enfants.
Nous allons dépasser les plus 2° degrés en 2030. Autant dire que les plus réalistes savent depuis longtemps que ça…
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Une réponse à “Chine / Occident : deux manières d’appréhender le monde, le 1er mai 2021 – Retranscription”
Ébauche
Cette réflexion tourne autour de la compression, l’optimisation du stockage, une vertu de l’Univers avec d’autres comme la dissémination (reproduction) de structures stables (à notre échelle), la redondance et le recyclage.
Le principe qui sous-tend l’enregistrement de la pensée est la structure stable pour l’Asie tandis que l’Occident opte pour l’algorithme de compression. Chez nous, le passage de la langue parlé à celle écrite se fait par un système de compression qui associe un signe à un son, la Chine utilise un signe/son unique par structure stable.
Le syllogisme permet la compression et l’élimination d’information redondante. La superposition de structure stable permet par interférence(+-) d’en extraire les composantes.
Le défaut du système occidental, c’est l’illusion de l’existence de catégories, d’essences abstraites, qui permettent de générer le Tout (compression sans perte du signal original). Celui du système asiatique, c’est l’existence d’un ensemble fini de structures stables.
Ces mêmes défauts sont aussi à l’origine des vérités. Chez nous, elles prennent la forme d’essences abstraite, d’un algorithme et d’une machine qui fabrique l’Univers (1,2,3). Celle asiatique est un jeu fini (2^N) de structure stable qui permet à une machine qui les superpose de matérialiser l’Univers(1,2).
Les Chinois savent qu’ils vivent au paradis (Empire du milieu), les structures stables qu’ils leur servent à décrire l’Univers se trouvent dans la nature. Les Occidentaux confondent le paradis avec les abstractions génératrices du Tout.
Et moi j’ai le nombril qui me chatouille.